Nicaragua
Jeudi 25 octobre
Il a plu toute la nuit !
La cour devant ma chambre est remplie d’eau.
Nous quittons Liberia pour la frontière du Nicaragua. A la gare routière nous retrouvons Suzanna l’italo-chilienne avec qui nous avions dîner hier soir et nous pouvons changer nos Colons costaricains en Cordobas nicaraguayens.
Sur la route pas de plantations de bananiers mais des pâturages avec des vaches.
Avant le poste de contrôle les camions font la queue sur plusieurs Km.
Nous passons sans difficultés les formalités mais les postes de contrôles des deux pays sont assez éloignés l’un de l’autre, il nous faut franchir ce no man’s land dans la boue !
Nous prenons un taxi pour San Juan del Sur sur la côte pacifique.
C’est une petite ville balnéaire avec un air de far west, et de jolies maisons de toutes les couleurs..
La pluie s’est arrêtée mais le ciel est encore couvert.
Après pas mal de recherches nous trouvons un hébergement à la casa Romana. Quelques chambres qui se suivent dans une cour jardin toute en couleurs, c’est clair, très propre un plaisir après ce que nous avions à Liberia ! C’est l’endroit le plus agréable que nous ayons eu depuis le début du voyage.
L’après midi nous faisons connaissance avec la ville qui s’ouvre sur la mer par une grande baie où se concentre un certain nombre de bateaux.
Le soir copieux repas près de l’hôtel car la pluie recommence à tomber !
Vendredi 26 octobre
Nous nous levons tard prenons un petit déjeuner. La vie est beaucoup moins chère ici qu’au Costa Rica.
Nous voulons nous rendre sur une plage mais celle devant la ville est sale et encombrée de détritus, les autres sont à 8 Km. Hélène propose que nous louions des vélos et que nous nous y rendions ainsi. Heureusement nous avons pris l’option voiture, car le trajet est une mauvaise piste défoncée par la pluie.
La plage de Madura est un repaire de surfeurs, il y a de beaux et gros rouleaux, nous nous promenons sur la plage mais les vagues ne nous donnent pas envie de nous baigner.
Depuis une gargotte nous contemplons les exploits des surfeurs et la plastique de leurs accompagnatrices !
Retour vers 13 pour déjeuner face à la mer.
Samedi 27 octobre
Nous quittons en taxi San Juan sous la pluie !
A San Jorge nous prenons un bateau pour traverser le lac Nicaragua jusqu’à l’île d’Omotepe qui est constituée de deux volcans ce qui lui donne une forme de 8 renversé.
La pluie n’est plus qu’un mauvais souvenir et nous naviguons pendant une bonne heure en voyant les deux cônes volcaniques se rapprocher.
En débarquant, une rue en pente mène à l’église et de chaque côté se trouvent magasins et hôtels.
Nous choisissons le « Corner house » avec de belles chambres : murs de briques crues et plafond tapissé de bambou
Nous louons des motos pour nous rendre à la plage de Bandon.
En cours de route nous croisons de nombreuses charrettes tirées par des chevaux ou des bœufs. Plus étrange encore nous traversons une piste d’atterrissage ! Au bout se profile le volcan.
Pour atteindre la plage il faut marcher une demi-heure dans une forêt semblable à celle de chez nous (cela nous change des forêts vierges sous la pluie !) les essences d’arbres par contre sont différentes.
A l’arrivée un choc : en face de nous l’eau du lac et le deuxième volcan juste devant nous ! Autre agréable surprise l’eau est à 30 ° et c’est un plaisir de s’y baigner. Même pour moi !
Au retour nous sommes ralentis par une manifestation du PLI (Parti Liberal Indépendant) avec cavaliers, musique, drapeaux… Il y a des élections municipales dans une semaine !
Le soir pizza !
Dimanche 28 octobre
Nous changeons de loueur de scooter c’est un peu moins cher mais elles sont en aussi mauvais état.
Nous envisageons de faire le tour des deux volcans, la route est couverte de pavés autobloquants, peut être pour mieux résister aux tremblements de terre ?
La route nous permet de voir le volcan sous différents angles, nous sommes étonnés par les nombreux panneaux indiquant les axes d’évacuations en cas d’éruption.
Nous avons vu des photos prises il y a 4 ans avec un grand nuage sombre au-dessus de l’île.
Nous faisons une halte à Oro de XXX grand bain aménagé dans une abondante végétation.
Hélène et Jo commandent un poisson il est énorme ! C’est bon mais avec un petit gout de vase.
Au retour, visite d’un petit musée local, où se trouvent plus de 1200 pièces datant de la période précoloniale et venant de l’île, 60% ont été trouvées sur le territoire de la ferme où nous sommes (l’histoire ne dit pas la taille de la finca !)
Grosse panne d’électricité le soir pendant une bonne heure.
Devant les bars locaux les habitués laissent leurs montures !
Repas Pizza !
Lundi 29 octobre
Ils s’y sont arrivés ! Nous louons des vélo pour nous rendre à la plage de Jésus Maria.
Heureusement ce n’est qu’à 5 Km. L ‘endroit s’il est beau ne donne pas envie de se baigner. Mes amis veulent retourner à la plage de Bandon, c’est 10 Km plus loin, je déclare forfait, je retourne en ville leur laissant le plaisir de pédaler sous le soleil !
Je mets mon blog à jour dans d’agréables conditions !
Mardi 30 octobre
Nous quittons l’île d’Omotepe en ferry ce n’est pas le Che Guevera qui est à quai dommage !
En débarquant nous prenons un taxi jusqu’à Granada. Nous y sommes en une heure.
Agréable découverte : une ville coloniale avec des constructions ne dépassant pas un étage, l’ensemble très bien restauré.
L’auberge « La Siesta » tenue par un couple franco-nicaraguayen est une jolie maison avec une cour intérieure ombragée. L’accueil est chaleureux et plein de bons conseils.
La ville nous enchante, nous pensons rester ici quelques jours et visiter les environs : volcans, autres villes coloniales, villages blancs…
Le soir, promenade dans la rue piétonne et double mojito en happy hour !
Mercredi 31 octobre
Découverte de la ville par une longue promenade qui nous mène du marché aux différentes églises : La Merced,
la cathédrale, le monastère de St François où Bartolomé de las Casas prêcha pour défendre les indiens.
la cathédrale, le monastère de St François où Bartolomé de las Casas prêcha pour défendre les indiens.
Il y a aussi l’ancienne gare transformée en restaurant.
La place centrale avec les calèches qui attendent les touristes
La place centrale avec les calèches qui attendent les touristes
Mais ce qui est le plus agréable à voir ce sont les vieilles maisons de toutes les couleurs.
C’est vraiment un endroit très agréable je ne m’attendais pas à trouver une ville aussi belle avant le Guatemala.
En fin de journée nous montons en haut du clocher de la Merced d'où nous avons une vue étendue sur la ville.
En face de l'église attendait un vieux corbillard.
Nous continuons notre visite par l'ancienne caserne-prison (selon les époques) et toujours de belles maisons.
Le soir apéro avec les responsables de l'hôstal et un couple de français.
Jeudi 1er novembre
Pour cette journée nous nous faisons accompagner par David un chauffeur-guide qui nous a été recommandé par notre hôte.
Départ à 9h pour le volcan Mombacho, c’est le seul où la route monte jusqu’au sommet. un chemin permet d’en faire le tour. Contrairement aux volcans que nous avons visités au Costa Rica celui-ci est couvert de végétation ainsi que le cratère.
Nous voyons différentes sortes de plantes et de fleurs,
Nous croisons des singes hurleurs, c’est étonnant comme de si petites bêtes peuvent pousser des cris aussi puissant et rauques,
![]() |
La main de Marie |
![]() |
Les lèvres ardantes |
Nous croisons des singes hurleurs, c’est étonnant comme de si petites bêtes peuvent pousser des cris aussi puissant et rauques,
Nous allons ensuite au village de Catarina d’où l’on a une vue sur la lagune d’Apoyo, un ancien cratère rempli d’eau, au loin la ville de Granada et derrière le lac Nicaragua : superbe !
Nous passons ensuite dans le village de San Juan del Oriente qui est spécialisé dans les céramiques.
Nous rentrons à la nuit heureux de cette belle jounée.
Jeudi 2 novembre
Matinée acrobranche, ici ça se dit canopy les photos et les films parlerons plus que moi !
Sinon c’est très agréable même s’il y a au départ une certaine appréhension à partir dans le vide au dessus des arbres sur 300m !
Cela commence par une ascension
Puis un grand arbre
et c'est l'aventure
Pour voir les films cliquez en bas à droite
Pendant ce temps les singes hurleurs nous regardent passer !
Cela commence par une ascension
Puis un grand arbre
et c'est l'aventure
Pour voir les films cliquez en bas à droite
Pendant ce temps les singes hurleurs nous regardent passer !
Une tombe nous impressionne plus que les autres
Un dernière promenade dans les rues de Granada, nous permet de découvrir de nouveaux endroits
Le soir nous nous offrons une soirée de luxe avec buffet dans un grand hôtel, musique et danses folklorique
Samedi 3 novembre
Nous quittons avec regrets l’auberge la Siesta.
C’est dans un ancien bus scolaire américain que nous rejoignons Masaya. Jo se trouve a côté de femmes transportant de grandes bassines contenant une sorte de flan tout gélatineux, je me demande comme cela ne s’est pas renversé sur Jo !
L’hébergement que nous avons trouvé est très simple mais nous n’y restons qu’une nuit.
Visite de la ville, son marché artisanal, ses églises, son Malecon qui nous permet d’avoir une belle vue sur le lac et le volcan Masaya, nous pensions y aller mais il est en éruption et dégage d’importantes fumeroles et son accès en est interdit.
En fin d’après midi un gros orage rafraichit bien l’atmosphère. Pour dîner nous avons des difficultés à trouver un restaurant, les rues sont sombres, les trottoirs défoncés, la ville semble endormie, quand nous en trouvons un, il est mexicain, pourquoi pas !
La nourriture y est quelconque et insipide, le prix en revanche est élevé !
Nous n’avons même pas la possibilité de nous consoler avec une bière, car nous sommes la veille d’une élection municipale et la vente d’alcool est interdite !
Nous commençons déjà à regretter Granada ! Triste soirée !
Dimanche 4 novembre
Pendant que nous trainons nos sacs dans Masaya, un minibus passe, s’arrête et c’est le bon !
De plus en plus de monde s’entasse dans le véhicule.. Une chance nous sommes assis au fond et j’ai pu compter nous étions plus de 20 personnes dans ce petit espace.
Arrivés à Managua effectivement à 30m nous changeons de véhicule et nous n’attendons que 10mn avant de partir.
Belle route le long du lac de Managua avec la vue sur les différents volcans qui jalonnent la route.
A Leon un taxi nous conduit à notre hébergement « El suenio de Meme ».
Belle maison avec une réceptionniste au décolleté plus que plongeant !
Découverte de la ville, la cathédrale,
les églises,
les marchés, les belles maisons peintes de toutes les couleurs
et les fresques racontant la révolution sandiniste et ses héros.
les églises,
les marchés, les belles maisons peintes de toutes les couleurs
et les fresques racontant la révolution sandiniste et ses héros.
Il faut que je parle de l’agencement des habitations : sur rue une façade bariolée, toutes les fenêtres sont grillagées, ainsi que la porte principale. Derrière cette dernière une lourde porte de bois, la plupart du temps ouverte sur un grand salon où trônent plusieurs rocking-chairs, en bois ou en rotin tressé et peints en blanc.
Ensuite un jardin et des chambres. Les habitants vivent ainsi, grilles fermées, mais avec vue sur la rue et je pense surtout que cela procure un agréable courant d’air.
Souvent tout au long du toit coure une grosse spirale de barbelés. La confiance règne !
Ensuite un jardin et des chambres. Les habitants vivent ainsi, grilles fermées, mais avec vue sur la rue et je pense surtout que cela procure un agréable courant d’air.
Souvent tout au long du toit coure une grosse spirale de barbelés. La confiance règne !
Parfois une rampe permet de garer une voiture sur le côté de la pièce à vivre.
Nous visitons également le musée de la révolution. Leon a été très engagé dans la lutte contre la dictature de Somosa puis dans la guerre contre les contrats : troupes financées par les USA pour empêcher la démocratisation du pays.
Nous sommes accompagnés par un ancien guerrieros, Marcel qui nous raconte ses combats, ses peines lors de la perte de ses amis et des membres de sa famille et l’histoire du pays. Il nous explique en toute simplicité comment fabriquer un cocktail Molotov et nous fait prendre la pose.
Nous finissons par grimper sur le toit du bâtiment en tôle ondulée qui s’enfonce à chacun de nos pas ! Je me demande comment nous ne sommes pas passés au travers !
Mais quelle vue ! La cathédrale, les volcans... le tout avec les lumières du coucher de soleil.
Le soir dîner pizza et eau minérale toujours pas d’alcool !
Lundi 5 novembre 12
Résultats des élections
ON PEUT BOIRE A NOUVEAU DE LA BIERE !
Sinon forte abstention et 75% des votes pour le parti sandiniste
Mais aussi des manifestations (pas là où nous sommes) qui ont fait 3 morts.
Revenons à nos pérégrinations, aujourd’hui visite de Viejo Leon l’ancienne ville qui a été détruite à peine 100 ans après sa fondation par un tremblement de terre.
Pour y aller nous prenons du local : d’anciens bus scolaires américains, nous découvrons aussi la vie hors des villes : très calme.
Nous changeons pour un second tout aussi brinquebalant !
Un kilomètre de marche et nous sommes face à ce site inscrit au patrimoine mondial de l’humanité : pas grand-chose à voir quelques murs de 50cm de haut ! C’est tout !
Un kilomètre de marche et nous sommes face à ce site inscrit au patrimoine mondial de l’humanité : pas grand-chose à voir quelques murs de 50cm de haut ! C’est tout !
Encore une heure à attendre le bus du retour et nous arrivons à Leon à 15h cette visite nous aura pris plus de 6h !
Nous nous renseignons à l’agence des TICABUS pour savoir comment rejoindre le Salvador. Du Nicaragua nous devons passer par un bout du Honduras ce qui complique les choses. Autre problème le Salvador à une très mauvaise réputation au point de vue sécurité et dans la région où nous devions passer 2-3j il y a une épidémie de dengue ! Que du plaisir !
Nous visitons la cathédrale la plus grande et la plus ancienne d’Amérique centrale. A l’intérieur, un chemin de croix composé de tableaux de 3m sur 3m. Impressionnant ! et sans doute le plus vieux Christ du nouveau monde apporté par je ne sais plus quel conquistador.
Les confessionnaux sont remarquables
Les confessionnaux sont remarquables
Le soir repas au Via Via plein de jeunes : ambiance sympathique.
Mardi 6 novembre
Dans la presse ce matin des photos des dégâts dus aux manifestations, en particulier l’incendie de l’ancienne gare ferroviaire de La Paz Centro, où nous avons changé de bus hier sans nous rendre compte de rien !
Hier nous avons fait culturel, ce matin plage ! Elle est à 20km de Leon. En 1/2 h de bus nous y sommes.
Grande étendue de sable gris, avec de beaux rouleaux pour faire plaisir au surfeurs !
Nous y restons jusqu’à 15h puis retour et nous nous penchons sérieusement sur la suite du voyage et la traversée du Salvador. Nous avons trouvé des navettes qui vont de la capitale aux ruines de Copán (Honduras) mais elle ne circulent pas tous les jours !
Il va falloir encore revoir nos projets !
Le soir découverte de beaux bâtiments
Le soir découverte de beaux bâtiments
Mercredi 7 novembre
SUITE AU TREMBLEMENT DE TERRE DU GUATEMALA AUCUNE INCIDENCE SUR NOTRE VOYAGE
TOUT VA BIEN
ERNST , HELENE ET JO
SUITE AU TREMBLEMENT DE TERRE DU GUATEMALA AUCUNE INCIDENCE SUR NOTRE VOYAGE
TOUT VA BIEN
ERNST , HELENE ET JO
Journée de repos consacrée aux démarches pour les jours à venir :
Réservation d’un bus pour rejoindre la capitale du Salvador, vérifier les horaires des bus pour l’étape suivante (5h du matin et il faut être présent un demie heure avant !)
Réserver un hôtel à San Salvador pour deux nuits, nous pourrons ainsi passer 24 h dans cette capitale. Nous nous en serions bien passés vu la réputation de la ville, mais il n’y a pas de navette pour le site maya de Copán au Honduras avant lundi ! Nous aurions pu le faire par les bus locaux mais cela nous prendrait beaucoup plus de temps .
L’après midi nous trainons et le soir j’envoie un message d’urgence pour rassurer nos amis suite au tremblement de terre du Guatemala.
Comme je n’ai rien d’autre à dire sur cette journée quelques petites réflexions sur les habitudes du pays.
Au travers des rues il y a parfois des banderoles pour souhaiter un anniversaire !
Plus étrange encore, des voitures avec sono qui passent dans les rues pour annoncer un décès ! Au Costa Rica c’est à la télévision que les annonces étaient faites !
Jeudi 8 novembre
Comme prévu nous quittons notre hôtel à 4h15 pour rejoindre la gare routière en taxi. Nous devrons attendre 6h30 pour que le mini bus arrive et que nous partions ! Cela nous a paru très long !
Nous franchissons la ligne des volcans, puis traversons une grande plaine consacrée à l’élevage et à la culture du riz, puis montons vers Matagalpa à 800m d’altitude. Cela se sent tout de suite, l’air est moins moite et un vent frais balaye la ville. Nous passons le milieu de la journée dans un parc naturel : grosses montée le long d’un ruisseau, belles cascades et superbe végétation.
et au bout d’une heure de marche difficile, nous atteignons, en nage, un point de vue sur la ville qui nous récompense des efforts fournis.
Faut-il préciser que c’est Hélène qui nous a poussé dans cette « galère ».
Fin de journée au musée du café -LA production locale-, histoire de la région et des premiers émigrants, principalement des allemands dont on retrouve la trace dans les nombreux visages pâles que nous croisons dans la rue.
Un tour à la cathédrale toute blanche elle aussi.
Nous sommes surpris par le nombre de magasins de vêtements qu’il y a dans cette ville, comme dans les précédentes.
Vendredi 9 novembre
Nous
avons le temps de prendre un petit déjeuner : gâteaux et café car le seul
magasin ouvert à 7h30 est la boulangerie salon de thé ! Les latinos ne
sont pas des gens matinaux !
Deux
bonnes heures de bus dans un paysage de collines pour arriver à Esteli notre
dernière étape au Nicaragua.
Nous trouvons rapidement un hébergement sympathique mais il ne reste qu’une grande chambre de 3 lits, Hélène et Jo me donnent à nouveau l’hospitalité.
Découverte
de la ville : la rue principale n’est qu’une succession de magasins de
vêtements.
Pourtant elle est réputée pour :
-
sa cathédrale
- ses fabriques de cigares. nous ne pourrons
pas en visiter, juste apercevoir le travail des cigarilleros par une fenêtre
- ses
cow-boys, ses magasins de
santiags locales, de selles, et de sombreros.
- ses
fresques politiques
-
mais les autres ne manquent pas de
poésie, ni d’humour !
Vendeuse avec le tablier typique à la profession
POUR LIRE LA SUITE VOIR LA PAGE : SALVADOR - HONDURAS