Toutes les photos ont été remises à leurs place !
En route pour Loja
28-10-15
Départ à 9h30, cela commence par le désert, puis
quelques collines couvertes de savanes, c’est la que nous passons la frontière.
La route serpente à nouveau les collines se
transforment en montagnes au bout de 9 h nous arrivons à Loja, il fait
déjà nuit l’hôtel est très bien
Visite de Loja et Vilcabamca
29-10-15
Nous nous rendons d’abord à la station de bus pour
notre billet pour Guayaquil, pas de problème mais faudra se lever à 5h !
église des dominicains toute peinte en trompe-l’œil,

et la très kitsch porte d’entrée de la ville qui fait
penser au château de Disneyland.
Nous prenons un bus ensuite pour Vilcabamca la ville
des centenaires, mais qui est surtout un refuge de vieux américains venant
passer leur retraite ici, le climat est agréable, la vie n’est pas cher et ils
sont nombreux donc pas tout seuls !
La ville ne manque pas de charme avec ces vieilles
maisons et son église en bois
Le soir à Loja, nous dînons en surplomb de la place
d’Armes,
avec sa cathédrale
dans le restaurant des tables sont spécialement
décorées pour les anniversaires où les soirées en amoureux.
30-10-15
Départ à 6h30 la route serpente encore une fois car
nous redescendons au niveau de la mer. Pas de grands précipices, les pentes
sont douces. Mais nous traversons des nuages en pendant un bon moment et nous
roulerons dans le brouillard.
Nous longeons la mer à distance, entouré de
plantations de bananes.Guayaquil apparait au loin avec des buildings de plusieurs dizaines d’étages.
La gare des bus est énorme, nous voulons acheter nos billets pour le lendemain, nous nous trouvons dans des files sans fins ; ne sachant jamais si c’est la bonne !
Tout ça pour nous entendre dire que nous ne pourrions acheter nos billets que demain pour un départ immédiat !
L’hôtel n’est pas terrible, en plus c’est un dédale de couloirs et d’escaliers.
Nous faisons un tour en ville , le parc aux iguanes : un square en face d’une église envahi des ces grosses bébêtes !
II y a aussi quelques vieux bâtiments
Nous continuons par le malecon grande promenade au bord de la mer et finissons dans un vieux quartier réhabilité qui ne manque pas de charme, mangeons un morceau et rentrons nous coucher
Passer des heures en bus sans bouger ça fatigue ! Nous venons d’en faire déjà 100 h
Arrivée à Puerto Lopez »Louanges à Jo »
Samedi 31-10-15
Nous partons à 7h pour la gare routière : c’est
pire qu’hier !
Des queues dans tous les sens au moins nous savons
quel guichet il faut atteindre.Nous laissons nos bagages à Hélène et avec Jo nous essayons d’acheter les billets.
Jo avec son sens pratique, son côté du sud et peut
être un côté un peu truand tente de se faufiler le près possible des guichets,
moi plus teutons je vais chercher le bout de la file, elle sort de la
gare ! et continu sur 100m à l’extérieur !
Au bout de plus d’une heure Jo a les billets « Que
son Nom soit sanctifié ! »
Mais départ dans 10 mn !
Nous nous perdons dans la foule, il faut monter deux
étages, là il y a une centaine de quais ! Nous arrivons juste à
temps pour monter dans le bus.Je suis à côté d’un vieux monsieur qui à commencé à faire la queue ce matin à 4h !
La route est bonne mais le paysage, la végétation, les villages, même les cimetières tout est gris et triste.
Notre hôtel par contre est agréable, face à la mer, l’accueil est très gentil.
Nous faisons un tour sur le bord de mer qui est en grands travaux, ce sera très bien dans un an ! Mais la ville est triste.
Des frégates tournent dans le ciel pendant que les pélicans pêchent en piqué.
D’autres oiseaux se reposent au bord de l’eau.
Nous mangeons une soupe de poisson, particulièrement copieuse avec une demi petite langouste, une grosses gambas, du poisson , des coquillages…
La fin d’après midi nous nous reposons
L’ile des fous aux pattes bleues
Dimanche 1-11-15
Après un bon petit déjeuner, nous embarquons avec une
dizaine d’autres visiteurs sur un hors-bord.
Pendant 1h1/4 nous allons être méchamment secoués
quand le bateau saute d’une vague à l’autre.
Arrivée à l’île de la Plata ( de l’argent), nous
sommes entouré de grosses tortues puis, nous suivons notre guide.
Longue montée dans un paysage de végétation sèche
Nous verrons des fous aux pattes bleues qui font leurs
nids au milieu du chemin
C'est un creux avec les excrément en couronne autour
Dans certains nids nous apercevons les oisillons protégés par le fou qui les couve
ils ont vraiment les pattes bleus
Il y a aussi des frégates :
des arbres en sont couvert
des males avec leur jabot
des jeunes encore couvert de duvet
mais ce sera tout ; Nous sommes un peu
déçu, ensuite nous avons le droit de faire du snorkling, mais l’eau ne nous
semble pas à la bonne température. Ce qui ne gène pas les jeunes étudiants
équatoriens qui tous se jettent à l’eau..
Une photo pour qui vous savez !Longue montée dans un paysage de végétation sèche
C'est un creux avec les excrément en couronne autour
Dans certains nids nous apercevons les oisillons protégés par le fou qui les couve
ils ont vraiment les pattes bleus
des arbres en sont couvert
des males avec leur jabot
des jeunes encore couvert de duvet
Le retour sera aussi agité qu’à l’aller.
Petite promenade dînatoire et dodo.
Repos à Puerto Lopez
Lundi 2-11-15
Nous décidons de faire une journée calme cela nous
changera un peu !
D’abord acheter les billets pour tourner à Guayaquil où il nous faudra prendre d’autres pour Cuenca.
Ici à Puerto Lopez pas de foules juste 3 clients devant nous ça change !
Puisque nous sommes à la gare routière nous prenons un bus pour Los Frailes, c’est un parc naturel avec des chemins de randonnés et des plages.
D’abord acheter les billets pour tourner à Guayaquil où il nous faudra prendre d’autres pour Cuenca.
Ici à Puerto Lopez pas de foules juste 3 clients devant nous ça change !
Puisque nous sommes à la gare routière nous prenons un bus pour Los Frailes, c’est un parc naturel avec des chemins de randonnés et des plages.
Enfin du soleil ! les paysages en sont plus beau,
même si nous marchons toujours dans une végétation grise et sans feuilles. Nous
en avons l’explication : les plantes ici pour résister aux nombreuses
sécheresses perdent leurs feuilles afin de perdre le moins d’eau possible.
Nous traversons deux plages, puis des promontoires nous avons de belles vues d’ensemble sur la côte.
L’après midi repos et promenade sur la plage de Puerto Lopez et pour dîner du poissons.
Pour finir notre séjour ici voici le sourire de notre hôtesse.
Route pour Cuenca
Mardi 3 oct 15
Nous quittons le Pacifique sous un ciel gri pour
Guayaquil, le bus roule très vite nous ne mettrons que 3,5 h pour faire le
trajet. Arrivé dans la gare routière c’est un grand changement : tout est calme.
Une fois nos billets pour Cuenca acheté nous avons 20 mn pour rejoindre le bus, passer aux toilettes qui sont à l’autre bout de la gare et acheter un sandwich.
Il faut dire que nos départs aux aurores font que nous n’avons pas de petit déjeuner, aujourd’hui nous ne mangerons qu’un bout de cake à la banane acheté à un vendeur à la sauvette, un sandwich à midi et de l’eau plate. De ce fait le soir nous dinerons à 18h30 !
Revenons à la route en quittant Guayaquil, le ciel est toujours gris, beaucoup d’industries puis des rizières.
La route monte, dès que nous passons au dessus des nuages, le ciel est bleu et les montagnes sont de nouveaux tous autour de nous.
Nous passons un col au dessus de 3000m avec quelques lamas.
Lors de la descente, nous sommes dans les alpages, et les élevages de truites.
En s’approchant de Cuenca de très belles demeures, dont les toits ont de nombreuses pentes couvertes de tuiles vernissées.
L’hôtel est bien, nous faisons un tour en ville, c’est la fête de l’indépendance.
Le long de la rivière de multiples stands d’artisanat
et sur la place centrale une manifestation sans doute politique, vue qu’il y a plus de policiers et de CRS locaux que de manifestants !
Je suis un peu déçu je pensais que ce serai une ville coloniale avec de belles et vieilles demeures.
Mis à par les églises qui sont ancienne (la cathédrale ne date que de 1850) le reste des constructions datent principalement de la fin du XIXème début du XXème.
Visite de Cuenca
Mercredi 4 novembre
Nous commençons par la place centrale avec l’ancienne
cathédrale et ces tableaux digne de Luc-Olivier Merson.
La nouvelle cathédrale immense, avec sa statut de Jean
Paul II
La jolie église Carmen de l’Ascension
Le musée d’arts modernes dans un ancien couvent, la bâtiment est beau avec ces nombreuses cours mais les ouvres exposées sont « très » moderne c.a.d. : pots de peintures posés sur le sol, ensemble de pièces métalliques disposées en vrac….
En sortant jolie maisons ancienne.
Visite d’une fabrique de panamas, car c’est dans la région de Cuenca qu'est produite la fibre spécifique à cette production.
Les moules qui servent à donner la forme du chapeau
Le monastère de la conception, où des petites filles était enfermées dés 12 ans. Elles emportaient avec elles leurs poupées et les dinettes, c'est très émouvant.
Le musée des cultures aborigènes avec de très belles poteries.
Une agréable promenade sur le bord de la rivière avec ces maisons toutes en hauteurs.
Pour finir un marché avec ces vendeuses en tenues traditionnelles.
Pour vous donner une idée de notre itinéraire
En route pour Alausi
Mauvaise journée
Une fois dans le bus pour Alausi Jo s’aperçoit qu’il
n’a pas son ordinateur ils retourne à l’hôtel.
Pour constater qu’il n’y a pas de l’ordinateur qui
manque dans leurs sacs mais aussi l’appareil photo, le téléphone et beaucoup
d’argent.Malgré toutes les recherche ils n’ont rien retrouvé.
Pendant ce temps je suis resté dans le bus avec les bagages.
Je les ai attendu toute la journée, ils ne mon rejoint que vers 19 h.
Nous n’avons pas le morale
Comme quoi il faut TOUJOURS être parano et même alors on peu se faire voler !
C’est tout pour aujourd’hui.
Le train de la Narine du Diable
6 nov.15
Alausi est une petite ville formée autour de sa gare
qui se trouve en centre ville
Nous prenons le train,
Les voitures sont en bois avec un gros frein
extérieur, un guide dans chaque, parfois charmante
Nous sommes rapidement au bord du précipice mais cette fois ci- c’est sur les rails.
Le vieux train descend de 600m en 10 km et comme il n’y a pas la possibilité de faire des courbes, le train fait des zigzags une fois en marche avant une fois en marche arrière.
A l’arrivée nous sommes accueilli par des danseurs folklorique.
Nous sommes toujours sous surveillance
De retour en ville nous voyons beaucoup de femmes en tenues traditionnelles.
Ensuite nous reprenons des bus jusqu’à Banos. Nous
passons au pied d’un volcan de 5000m de haut en grande partie dans les nuages.
Il pleut nous espérons que cela va se calmer car
demain nous avons prévu de faire 20 km en vélo !Journée à Banos
Samedi 7 nov.-15
Toute la nuit j’ai entendu la pluie tombé ! Le matin c’est la même
chose ! Ce n’est pas aujourd’hui que je ferai 20 km de vélo.
Avec Hélène et Jo nous profitons de ce mauvais temps pour nous avancer dans les réservations d’hôtel.
Nous en profitons pour mieux faire connaissance avec la ville.
Ce n’est qu’une succession d’hôtels pas trop chics et de restaurants, donc surtout pour des touristes locaux où de jeunes étrangers.
En début d’après midi mes amis vont se baigner dans des sources chaudes qui sont nombreuses dans la ville. Il faut dire que nous sommes au pied d’un volcan de plus de 5000m.
En revenant, ils me proposent de les accompagner dans une promenade vers un belvédère qui domine la ville. La montée sera difficile le chemin est en forte pente et la pluie qui est tombée jusqu’à maintenant l’a rendu glissant.
Il me faut une bonne demi heure d’effort pour arriver
au sommet, il y a bien une belle vue sur la ville mais elle n’a rien de beau à
voir !
Nous entre apercevons le volcan qui domine la ville..
Enfin ça décrasse après cette journée très passive.
Le soir les rues sont animées par de nombreux jeunes
équatoriens qui viennent faire la fête dans de nombreux bars et discothèques.Nous entre apercevons le volcan qui domine la ville..
Enfin ça décrasse après cette journée très passive.
La route des cascades, en vélo !
Dimanche 8 nov. 15
Ce matin il ne pleut pas ! Après le petit
déjeuner nous allons louer des vélos et partir pour la route des cascades. Il
parait qu’elle ne fait que descendre !
Je m’aperçois assez rapidement qu’il y a aussi de
petites montées mais qui sont dure à mes mollets !
Nous longeons la rivière et c’est vrai il y a de
nombreuses cascades très belles
Des coulés de laves qui ont formé des orgues
basaltiques
Nous en survolons une grâce à une
« tarabita » petite nacelle passant d’un côté à l’autre de la gorge,
suspendu à un câble, que nous espérons solide ! Sensations
garanties !
Hélène et Jo s’aventurent au pied de la chute.
Au retour Jo a failli perdre sa chaussure en faisant le zouave !
Nous essayons d’aller plus loin mais la route monte et il n’y a plus grand-chose à voir
Nous retournons à la chute pour manger une truite.
Pendant le repas nous parlons de la nourriture, les plats sont trop copieux et ce n’est pas toujours très bon, le galettes de bananes-maïs nous écœure, comme l’odeur du poulet grillé, base de l’alimentation carnée.
Nous décidons de manger moins, plus léger si possible.
Pour le retour à Banos de petites camionnettes nous ramènent nous et nos vélos.
Nous croisons plusieurs groupes de français plus tôt âgés, et de nombreux jeunes occidentaux, dont les jeunes femmes sont plutôt blondes et grandes ce qui les fait remarquer, dans une population petite au cheveux noirs.
Je refais un tour de ville avec un rayon de soleil, cela ne la rend pas belle mais moins sinistre.
L'église est pleine en permanences
Une des spécialités de Banos c’est une sorte de confiserie que le marchant étire à longueur de journée.
Les boutiques sont bien achalandées en vêtements chauds
En route pour Latacunga
Lundi 9 nov. 15
Trois heures de route pour nous faire déposé au bord
d’une autoroute ! Heureusement des pick-up sont là pour nous conduire en
ville.
Le chauffeur nous propose ces services pour la visite
de la lagune de Quilotea demain. Nous acceptons car il est sympathique et
son tarif est intéressant.La façade de l’hôtel ne paie pas de mine mais une fois passé la porte d’entrée c’est un bâtiment de 3 étages en pierres volcaniques, les chambres sont belles et grandes. A côte se trouve le restaurant installé dans une belle cours, l’ensemble date de la reconstruction de la ville après l’éruption du Cotopaxi en 1875.
Le sol est composé de petites pierres noires et d’os de pates de vaches. Nous n’avons pas pu savoir le pourquoi de ces incrustations.
La visite nous réserves quelques surprises agréables, beaucoup de demeures semblables à notre hôtel, une place centrale avec une mairie, pompeuse, mais pas sans grandeur.
Sans oublier quelques jolies rues
Partout en ville des panneaux indiquent les zones où la lave du Cotopaxi peuvent se répandre en ville et les lieux où se réfugier.
Je passe une partie de l’après-midi au lit avec de la fièvre, mal partout et un nez qui ne s’arrête pas de couler !
Visite à la lagune de Quilotea
Mardi 10 nov. 15
Le chauffeur est à l’heure nous partons pour 2h d’une
belle route dans les montagnes, le temps n’est pas assez claire pour que nous
puissions voir les volcans.
La lagune de Quilotea est en réalité le font d’un
cratère. Quand nous sortons de la voiture il y a un vent glaciale, nous mettons
rapidement tous nos vêtements chaud. Nous sommes à 3800m d’altitude.La vue du bord de la caldéra est superbe, le fond 400m plus bas, est rempli d’un lac aux eaux bleues, et tout autour le bord du volcan.
Mes amis vont descendre jusqu’au lac, je me refugie dans un restaurant, car je ne me sens vraiment pas en forme pour cet effort. Ils mettrons 1h30 pour faire l’aller retour et reconnaitrons que la remontée à été difficile.
Au retour nous faisons un arrêt au bord d’un canyon
taillé dans de la cendre volcanique puis dans une exposition de peintures
naïves spécialités d’un village de la région.
Arrivée en ville grande animation sur la place
principale : c’est la fête de l’indépendance de la ville, la cérémonie est
sous le patronage des forces aériennes de l’Equateur.
Beaucoup de militaires peu de civiles quand aux
spectateurs ; ils sont une vingtaine, ce qui est faible pour une ville de
200.000 habitants
Je vais un peu mieux mais mon nez est toujours une
fontaine difficilement contrôlable ! Mais je n’ai plus de fièvre.
Quito
Mercredi 11 nov. 15
Le trajet en bus nous permet de voir enfin le fameux
Cotopaxi et son nuage de fumée.Arrivée à Quito la gare routière est immense, lumineuse comme un aérogare. Nous sommes très loin de la ville ; nous prenons un bus qui mettra 45 mn pour nous déposé à l’arrêt qui semble être le plus près de notre hébergement. Nous demandons notre chemin à une gentille femme qui va passer presque un quart d’heure à essayer de nous renseigner, pour nous apercevoir que nous sommes à 50m de notre destination.
Il faut dire que ce n’est pas un hôtel que nous cherchons mais un appartement, c’est nettement moins bien signalé !
Le gardien appelle une vielle femme qui nous conduit au troisième étage devant une porte, pensant que nous avons les clefs ! Mais non, elle en à heureusement un double, puis nous attendons un jeune homme de l’agence de location qui nous fait le tour de l’appartement :
Un double salon, une grande cuisine, une buanderie avec une machine à laver le linge et une pour sèche elles sont immenses, deux belles chambres, une salle de bain et une salle de douche. Le tout très lumineux, le salon à la vue sur les montagnes. Cela nous change des chambres d’hôtels !
Nous prenons un taxi pour le centre ville qui est assez loin Quito étant une ville toute en longueur dans une vallée (2850 m d’altitude) entourée de montagne.
En arrivant sur la place principale nous sommes accueilli par des centaines de CRS dan toutes les rues ! Certains sont des femmes ! Elle ont inscrit sue leurs boucliers « j’ai 3 enfants manifester pacifiquement » !
Je me renseigne au prêt d’un gradé pour demander si l’on peu se promener et visiter la ville, oui pas de problème me dit-il.
La cathédrale payante !
La place San Francisco et sont musée
La rue Ronda et ses vieilles maisons
Le théâtre et les maisons des alentours
La basilique « du vœux national »
Ouf !
Retour dans notre quartier Marisol dont une vingtaine
de pâtes de maisons ne sont que des restaurants des bars et des boites de
nuits, c’est très jeune et animé !
Nous avons du mal à trouver un endroit pour dîner qui
nous convienne.Le soir de retour à l’appartement nous profitons pleinement du plaisir d’être « comme chez nous ».
Le milieu du monde !
Jeudi 12 nov. 15
Il y a du soleil enfin !
Nous prenons un taxi (il faut dire qu’ils ne sont pas
cher et nombreux) pour aller à une gare routière pour rejoindre l’endroit
appelé le Milieu de Monde.En cours de route nous passons devant le stade de Quito où déjà règne une chaude ambiance, car ce soir aura lieu ici la rencontre Equateur – Uruguay comptant pour la coupe du monde de football !
Tout le monde est habillé en jaune au couleurs du pays.
Revenons au Milieu du Monde, la première chose que nous voyons c’est un immeuble très moderne tout en avancées aérienne, c’est le siège de l’union des pays d’Amérique du Sud
.
Puis un grand jardin, une allée entourée de bustes : l’équipe française dirigé par de la Contamine et qui à fait ici les mesures de l’arc terrestre, et déterminé l’emplacement de l’équateur ! ils se sont un peu trompés mais c’est ici qu’il est matérialisé par un grand monument et une ligne jaune qui traverse tout le site.
Ici on peut avoir un pied dans l’hémisphère nord et l’autre au sud !
Après ces performances géographiques nous reprenons u
taxi pour le volcan Pala…. Dont le fond est devenue une jolie prairie.
Nouveau taxi pour le téléphérique qui nous emmène à 4100m d’altitude et d’où nous avons une vue sur toute la ville et les montagnes environnantes.
La fin de la journée se passe à visiter les monuments du centre ville que nous n’avions vu qu'en passant hier :
Nouveau taxi pour le téléphérique qui nous emmène à 4100m d’altitude et d’où nous avons une vue sur toute la ville et les montagnes environnantes.
La fin de la journée se passe à visiter les monuments du centre ville que nous n’avions vu qu'en passant hier :
L’église des Jésuite couverte d’or et de décoration, c’est étonnant comme l’église catholique à toujours prêché la pauvreté et la simplicité, mais en même temps quelle appétence pour l’or !
Le centre culturel de la ville
Au retour nous apercevons un volcan au bout de la route !
Une journée bien chargée !
Nous venons de
prendre connaissance des terribles événements survenus à Paris
Je suis sous le
choc, il va falloir quand même prendre de vrais mesures contre tous les
sympathisants, de ces assassins.
A bas toutes
les religions qui poussent aux tueries. Vive l'athéisme.
Quito et découverte des œuvres du peintre Guayasamin
Pour notre dernière journée à Quito nous prenons le bus
touristique à impériale.
Nous nous y rendons à pied ce qui nous permet de mieux faire
connaissance avec notre quartier.
Beaucoup de beaux d’immeubles d’habitation des années 70-90 ; il reste parfois entre les tours quelques très belles villas.
Le bus traverse la vieille ville et c’est une vue originale
que de passer au niveau du premier étage dans les rue étroites.
Beaucoup de beaux d’immeubles d’habitation des années 70-90 ; il reste parfois entre les tours quelques très belles villas.
Nous montons sur une petite colline surmonté d’une grande statut de la Vierge en aluminium. C’est très kitch. Cette façon de représenter la Vierge est typique de Quito : elle a des ailes !
Tout en haut ce trouve la maison du peintre Guayagasin et la Chapelle de l’Homme.
Nous commençons par le Chapelle de l’Homme un grand bloc rectangulaire surmonté d’un cône en forme de volcan, le tout en lave noir.
A l’intérieur de grands tableaux, c’est très impressionnant.
C’est un peintre que je ne connaissais pas (cela permet de vous rendre compte du puit insondable de mon ignorance !)
Visite de sa maison, très grande et un peu pompeuse, avec ces collections de poteries pré et post coloniales.
Nous finissons la journée dans la vielle ville où je visite un couvent de carmélites récemment rénové, où une vingtaine y vivent encore.
Egalement un musée de poteries très anciennes et bien mises en valeurs.
J’apprends par hasard les terribles événements qui se sont produits à Paris
Nous passons notre soirée à écouter les informations et sommes atterrés.
Otovalo
14 nov.15
Si nous avons trouvé que la gare routière par laquelle nous
sommes arrivés à Quito était loin du centre, celle que nous rejoignons pour
partir vers le nord est au moins aussi loin.
Pour aller de l’une à l’autre il faut une heure et demi ! Cela donne une idée de l’étendu de la ville.
La route pour Otavalo est belle, parfois même ave six voies de circulation !
Notre hôtel est en centre ville et c’est le jour du marché, une dizaine de rue sont fermées à la circulation..
Nous sommes agréablement surpris, les femmes locales sont habillées de longues jupes blanches recouverte d’une autre noire, une blouse blanche brodée, une grosses ceinture très colorée, un collier de fine chaines d’or et sur la tête une coiffe faite d’un long tissus noir, porté soit replié sur la tête soit retombant sur le dos.
Les marchandises vendues, surtout destiné aux touristes, sont de qualités.
C’est aussi la première fois que nous voyons autant d’étrangers tous ceux qui visitent l’Equateur doivent se trouver ici !
Au déjeuner nous rencontrons un couple de notre âge qui est parti pour un tour de monde en 10 ans ! Ils ont acheté une sorte de camping-car au Canada et ont mis deux ans pour arriver ici !
Je n’aurai pas le courage de partir aussi longtemps.
L’après midi se passe à trouver un moyens pour visiter les lagunes et les volcans qui sont dans les alentours.
Ce n’est pas facile, en tour organisée c’est très cher et en individuel, cela reste couteux.
Nous nous décidons pour le chauffeur recommandé par l’hôtel.
Le soir dîner au restaurant Mi Otavalo, nappe sur les tables, serveuse en tenue locales et bonne nourriture.
Avec Jo nous prenons un chateaubriand (je sais c’est pas très local !) un beau morceau de viande, pas trop cuite, cela nous change de des escalopes ultrafine et archi cuites !
Pour aller de l’une à l’autre il faut une heure et demi ! Cela donne une idée de l’étendu de la ville.
La route pour Otavalo est belle, parfois même ave six voies de circulation !
Notre hôtel est en centre ville et c’est le jour du marché, une dizaine de rue sont fermées à la circulation..
Nous sommes agréablement surpris, les femmes locales sont habillées de longues jupes blanches recouverte d’une autre noire, une blouse blanche brodée, une grosses ceinture très colorée, un collier de fine chaines d’or et sur la tête une coiffe faite d’un long tissus noir, porté soit replié sur la tête soit retombant sur le dos.
Les marchandises vendues, surtout destiné aux touristes, sont de qualités.
C’est aussi la première fois que nous voyons autant d’étrangers tous ceux qui visitent l’Equateur doivent se trouver ici !
Au déjeuner nous rencontrons un couple de notre âge qui est parti pour un tour de monde en 10 ans ! Ils ont acheté une sorte de camping-car au Canada et ont mis deux ans pour arriver ici !
Je n’aurai pas le courage de partir aussi longtemps.
L’après midi se passe à trouver un moyens pour visiter les lagunes et les volcans qui sont dans les alentours.
Ce n’est pas facile, en tour organisée c’est très cher et en individuel, cela reste couteux.
Nous nous décidons pour le chauffeur recommandé par l’hôtel.
Le soir dîner au restaurant Mi Otavalo, nappe sur les tables, serveuse en tenue locales et bonne nourriture.
Avec Jo nous prenons un chateaubriand (je sais c’est pas très local !) un beau morceau de viande, pas trop cuite, cela nous change de des escalopes ultrafine et archi cuites !
Environs d’Otavalo
Dimanche 15 nov. 15
Ce matin nous prenons une voiture pour visiter des lagunes,
je sais c’est pas très originaux mais nous faisons avec ce qu’il y a sur
place !
Nous montons sur une route en pierrée jusqu’à 4000m , nous
sommes dans les nuages, la lagune de Mojanda est entouré de montagne rocheuses
et escarpées. Nous faisons une promenade sur les bords le long d’un chemin
entouré d’herbes de la pampa. Ils fait très froid. Nous sommes les seuls
personnes présentes avec un groupe de pêcheurs.
Nous reprenons la voiture pour la lagune de Cuicocha, moins
haute, ensoleillée, c’est un cercle presque parfait avec au milieu deux îles
couvertes de végétation. Ici il y a des touristes locaux et étrangers. Au bord
de l’eau nous prenons un bateau pour faire le tour du lac et passer dans
l’étroit chenal qui sépare les deux îles.
L’après midi comme je ne suis pas très en forme depuis ce
matin je reste dans ma chambre à me reposer.
Le soir tous les trois nous craquons pour un chateaubriand comme hier soir mais il est tellement bon !
Le soir tous les trois nous craquons pour un chateaubriand comme hier soir mais il est tellement bon !
Lundi 16 nov. 15
Nous partons assez tôt, nous prenons un taxi pour la gare routière quad nous donnons notre destination, le chauffeur nous dit que ce n’est pas au terminal qu’il faut aller.
Cinq minutes plus tard il nous dépose sur le bord de la panaméricaine , nous sommes une dizaine à attendre.
Quand le bus arrive il est bondé, nous commençons le voyage debout mais rapidement nous trouverons des places assises.
La route est en travaux elle sera prochainement en quatre voies. Les paysages sont beaux nous passons d’une vallée très chaude à un plateau couvert de cultures.
Arrivée à Tulcan, dernière ville en Equateur, la frontière se passe rapidement, nous prenons un taxi pour Ipales. Ce n’est pas une ville sympathique, beaucoup de monde, nous devons changer nos Dollars dans la rue, le cours n’est pas très bon.
Nous ne restons pas sur cette impression et partons pour l’église de Lajas, à quelques km de la ville.
Au fond d’une grande gorge se trouve une construction faisant un pont sur la rivière. C’est impressionnant.
Le soir nous trouvons un restaurant agréable, et cela n’a pas été facile !