Samedi 12 mai
Départ à 7 h le matin d’Orly ce n’est pas loin de chez moi mais ce n’est pas facile de trouver un transport en commun à cette heure ! Heureusement ma voisine Nicole veut bien se lever tôt et nous y conduire. Nous avons acheté notre billet pour Figari il y a deux mois et n’avons trouvé alors qu’un vol avec escale à Marseille pour plus de 250 €. C’est cher et peu pratique ! Surtout que nous avons vu il y a une semaine des billets à 135 € en vol direct ! Petite attente à Orly puis vol pour Marseille nous arrivons à 8 h nous n’avons que 4H30 à attendre ! Hélas ce n’est pas assez pour prendre un bus et faire une visite à la Bonne Mère ! Nous n’avons pas non plus la possibilité de prendre un vol plus tôt car nos bagages sont enregistrés jusqu’à notre destination finale ! Donc attente, attente … Un ATR72 à hélices nous emmène à Figari, pendant que Françoise attend nos bagages je vais chercher la voiture de location que nous avons réservée, mais je ne sais pas chez quel loueur ce n’est pas précisé dans la confirmation que j’ai en ma possession ! Je vais dans le premier Europcar il y a déjà pas mal de monde qui attend, quand c’est mon tour j’ai la bonne surprise de découvrir que c’est bien ici qu’une voiture m’attend mais il me faut le voucher ! Quel voucher ! Je n’ai que ma confirmation de réservation ! Il fallait imprimer une feuille accessible en cliquant sur une des nombreuses lignes du document que j’ai entre mes mains ! Bon la jeune femme en face de moi regarde si elle ne peut pas y avoir accès depuis son écran. Ouf c’est possible ! Françoise me rejoint, elle aussi a eu des problèmes avec nos bagages : un seul est arrivé sur le tapis roulant, puis plus rien ! Elle va se renseigner au près du service bagages : le second est arrivé avec le vol précédent ! Bon nous voilà avec une voiture et nos affaires nous pouvons partir à la recherche de la maison où Jeannette et Daniel nous attendent. Nous avons pensé à amener le GPS qui sans problème nous y conduit. Au bout d’un chemin étroit et sinueux une belle maison dominant le maquis avec la mer au fond. Au pied un ancien lavoir et une mare pleine de grenouilles qui certains soirs nous donneront des concerts très bruyants !
Cette maison appartient à la sœur de Daniel qui loue un studio bien équipé au rez de chaussé. Nous finissons la journée par une visite au Spar de Bonifacio pour faire le plein de nourriture et de boissons. J’ai emporté une petite radio mais impossible de capter une émission en français; que des émetteurs en italien ! Il faut reconnaitre que nous sommes juste en face de la Sardaigne et tournons le dos à la France et même à la Corse ! Le soir apéro avec les propriétaires et dodo à 21 h. Nous sommes levés depuis 4h30 ce matin et n’avons pas dormi de la journée !
Dimanche 13 mai 2012
Nous prenons notre temps pour nous rendre à Bonifacio, qui se trouve à 5 km de notre habitation. J’étais déjà venu dans cette ville il y a 3 ans. C’était en bateau par une belle tempête ! Mais j’ai dû repartir le surlendemain et c’est tout ce que je connais de la Corse ! Ce goulet de 1 km de long entouré de hautes falaises calcaires qui sert de port naturel est impressionnant ! Nous montons à la haute ville qui occupe tout un l’éperon qui domine le port.
C’est un enchevêtrement de petites ruelles, nous passons devant la maison où dormi Bonaparte qui fait face à celle qui abrita Charles Quint ! Après la ville se trouve une grande caserne abandonnée et tout au bout un cimetière domine la mer. Sète a de la concurrence !
Nous déjeunons dans un petit restaurant qui ne paye pas de mine mais c’est excellent, très copieux et le tout pour un prix raisonnable vu le nombre de touristes au m² et nous ne sommes pas encore en haute saison ! L’après-midi nous allons sur une petite plage à proximité de notre studio, en chemin un renard traverse la route juste devant nous ! Je n’en avais jamais vu d’aussi pres ! C’est la carte postale de la Corse mer turquoise, paillotte, plage, îles au large ….Juste un point négatif un vent puissant qui fait moutonner la mer. Le soir les grenouilles de la mare qui se trouve juste à côté de notre chambre nous font un concert assourdissant !
Lundi 14 mai
Premier jour d’excursion nous quittons Bonifacio par la route qui longe la côte est, premier arrêt à la baie de Rondinara. Des rochers ocres et rouges finissent dans la mer bleue, au dessus un dense maquis vert parsemé de fleurs donne une autre touche de couleurs. Nous continuons vers le nord jusqu’à Porto-Vecchio, Le vent est toujours aussi fort et nous avons froid. Les petites ruelles de la vieille ville ne font qu’accentuer les courants d’air ! Nous avons encore toute l’après-midi devant nous, nous décidons d’aller voir le site préhistorique de Filitosa. A vol d’oiseaux ce n’est pas loin mais en Corse il semble que la notion de ligne droite soit peu connue ! Après un long détour et beaucoup de virages nous arrivons à destination. Sur une petite butte se trouve quelques murailles faite de gros blocs de rochers.
De là nous descendons dans une vallée où se trouvent plusieurs menhirs où l’on devine des formes humaines. Ce n’est pas très visuel mais cela a plus de 6000 ans !
En tous les cas c’est un endroit plein de charme entre verdure et rochers. Au retour nous passons sans nous arrêter à Propriano et Sartène .
Mardi 15 mai
Avec Jeannette et Daniel, les amis de Françoise nous décidons de faire un tour dans le centre de la Corse. Nous remontons le côte est de l’île jusqu’à Solenzara, la dernière partie longe la mer et nous donne de très beau points de vues. La route ensuite serpente et monte régulièrement jusqu’au col des aiguilles de Bavella.
La montagne à cet endroit se transforme en éperons rocheux pointus qui semblent gratter le ciel. Nous en profitons pour faire une pause café. L’air est frais, la luminosité intense bien que tamisée par les forêts de pins. Une fois le col passé le paysage change complètement, à perte de vue des collines arrondies couvertes de maquis. Vers midi nous arrivons à Sartène que nous avions traversé hier et qui ne nous avait pas plu. La ville n’est qu’une longue route entouré d’immeubles en granit de plusieurs étages.
C’est triste et peu engageant. Nous avons d’ailleurs du mal à trouver un restaurant qui nous plaise, se sera l’Echauguette ouùnous mangeons dans une petite salle à l’atmosphère familiale. Nous visitons ensuite la vieille ville que l’on atteint en passant sous une voute. C’est un joli entrelacs de ruelles et d’escaliers. Dans l’église sont exposés la croix de 35 kg et les chaines de 15 kg que porte un pénitent lors des processions de la semaine sainte.
Retour à Bonifacio. Le soir nous invitons Jeannette, Daniel et les propriétaires (Martine et Jean Claude) à prendre l’apéritif chez nous.
Mercredi 16 Mai
Une longue journée nous attend nous allons remonter au nord jusqu’à Corte l’ancienne capitale de la Corse. Pour changer nous ne prendrons pas la route de la côte est, je garde les longues routes en ligne droite pour ce soir quand je serai fatigué ! Une surprise ce matin un vent de tempête couvre la mer d’écume et fait tanguer la voiture ! Au bout de deux heures de route nous laissons Ajaccio à notre droite et commençons à entrer dans la montagne par la vallée de la Gravona.
La route est sinueuse, bien goudronnée et suffisamment large pour que les croisements de véhicules ne posent pas de problème. Il n’en est pas de même dans les villages où je me suis trouvé coincé entre un mur de pierres et un camion, je pense avoir évité les rayures sur la carrosserie à quelques cm près !
Vers midi nous sommes à Corte, nous visitons le musée avec plaisir : une ancienne caserne réaménagée et à laquelle a été rajoutée une partie moderne en béton et acier noir. De là nous montons au plus haut bastion dominant la ville, il y a toujours du vent mais ce n’est plus les bourrasques de ce matin.
Nous partons à la recherche d’un restaurant mais ceux préconisés par le guide sont tous fermés !
Au cours de notre visite nous voyons la statut de Paoli président de l’éphémère république corse de 1755 à 1769. La descente vers Aléria par la vallée du Tavignano nous donne un nouvel aperçu de la beauté des paysages corses.
Aléria toute petite bourgade au sommet d’une colline avec un vieux fort transformé en musée. Accueil glacial du préposé à la vente des tickets d’entrées, pourtant ce n’est pas le nombre des visiteurs qui doit le gêner ! A l’intérieur une collection extraordinaire d’objets datant des étrusques aux romains.
Ils viennent des fouilles qui se trouvent à 200 m de là, où nous nous rendons en quittant le musée. Il ne reste pas grand-chose, quelques murs, des pieds de colonnes… Notre imagination fait le reste ! Retour à Bonifacio pour déguster une glace.
Jeudi 17 mai
Nous avons fait assez de voiture hier et nous nous contenterons aujourd’hui de promenades autour de notre maison. Le matin nous longeons la côte de plages en plages avec de belles vues sur les îles Lavezzi et la Sardaigne. Côté terre peu de constructions mais quand il y en a ce sont d’immenses villas qui dominent la mer.
Françoise se découvre une sensibilité new-age !
C’est une très agréable balade. L’après-midi Martine nous propose une randonnée au bord des falaises. Après un passage dans la garrigue nous nous trouvons en haut des falaises dominant la mer translucide et turquoise. Au bout d’une heure nous nous retrouvons sous un aplomb de roches calcaires creusées et déchiquetées par le vent.
C’est impressionnant d’avoir à 10-20 m au dessus de la tête des plaques de roches dont on se demande comment elles peuvent tenir sans nous tomber sur la tête ! Sans aller jusqu’au coup de soleil ces deux promenades commencentà me donner des couleurs !
Vendredi 18 mai
Le ciel est couvert le vent se lève et pour la première fois de notre séjour : il pleut ! Nous traînons à la maison le matin et commençons à ranger et nettoyer la maison (ça c’est Françoise qui le fait) L’après midi nous allons à l’ermitage de la Trinité qui se trouve au milieu d’un enchevêtrement de gros rochers aux formes étranges. Le soir pour ne pas salir tout ce qui a été nettoyé nous allons diner en ville !
Sur les recommandations de Martine nous allons dans la haute ville au Castelle, derrière la terrasse où nous n’allons pas, ayant trop peur d’avoir froid, nous rentrons dans une salle taillée dans le calcaire, c’est impressionnant et beau. Nous y mangerons très bien, c’est une adresse que nous recommandons !
Samedi 19 mai
Levés à 5 h nous quittons la maison une demi heure plus tard et arrivons à l’aéroport de Figari à 6h. Personne au loueur de voiture il n’arrivera que 10mn plus tard. Enregistrement express et vol pour Marseille. Cette fois ci nous n’avons pas à attendre 5 h avant de prendre la correspondance 50 mn suffisent !
A Orly Nicole nous attend et à 10h 30 nous sommes chez moi ! Voilà c’est fini En conclusion : nous avons bien aimé ce voyage en Corse, ces beaux paysages, ces plats de sanglier et d’aubergines au brocciu, sa population plus sympathique que la réputation qu'elle ! Mais aussi nos hôtes charmants et de bons conseils.
Départ à 7 h le matin d’Orly ce n’est pas loin de chez moi mais ce n’est pas facile de trouver un transport en commun à cette heure ! Heureusement ma voisine Nicole veut bien se lever tôt et nous y conduire. Nous avons acheté notre billet pour Figari il y a deux mois et n’avons trouvé alors qu’un vol avec escale à Marseille pour plus de 250 €. C’est cher et peu pratique ! Surtout que nous avons vu il y a une semaine des billets à 135 € en vol direct ! Petite attente à Orly puis vol pour Marseille nous arrivons à 8 h nous n’avons que 4H30 à attendre ! Hélas ce n’est pas assez pour prendre un bus et faire une visite à la Bonne Mère ! Nous n’avons pas non plus la possibilité de prendre un vol plus tôt car nos bagages sont enregistrés jusqu’à notre destination finale ! Donc attente, attente … Un ATR72 à hélices nous emmène à Figari, pendant que Françoise attend nos bagages je vais chercher la voiture de location que nous avons réservée, mais je ne sais pas chez quel loueur ce n’est pas précisé dans la confirmation que j’ai en ma possession ! Je vais dans le premier Europcar il y a déjà pas mal de monde qui attend, quand c’est mon tour j’ai la bonne surprise de découvrir que c’est bien ici qu’une voiture m’attend mais il me faut le voucher ! Quel voucher ! Je n’ai que ma confirmation de réservation ! Il fallait imprimer une feuille accessible en cliquant sur une des nombreuses lignes du document que j’ai entre mes mains ! Bon la jeune femme en face de moi regarde si elle ne peut pas y avoir accès depuis son écran. Ouf c’est possible ! Françoise me rejoint, elle aussi a eu des problèmes avec nos bagages : un seul est arrivé sur le tapis roulant, puis plus rien ! Elle va se renseigner au près du service bagages : le second est arrivé avec le vol précédent ! Bon nous voilà avec une voiture et nos affaires nous pouvons partir à la recherche de la maison où Jeannette et Daniel nous attendent. Nous avons pensé à amener le GPS qui sans problème nous y conduit. Au bout d’un chemin étroit et sinueux une belle maison dominant le maquis avec la mer au fond. Au pied un ancien lavoir et une mare pleine de grenouilles qui certains soirs nous donneront des concerts très bruyants !
Cette maison appartient à la sœur de Daniel qui loue un studio bien équipé au rez de chaussé. Nous finissons la journée par une visite au Spar de Bonifacio pour faire le plein de nourriture et de boissons. J’ai emporté une petite radio mais impossible de capter une émission en français; que des émetteurs en italien ! Il faut reconnaitre que nous sommes juste en face de la Sardaigne et tournons le dos à la France et même à la Corse ! Le soir apéro avec les propriétaires et dodo à 21 h. Nous sommes levés depuis 4h30 ce matin et n’avons pas dormi de la journée !
Dimanche 13 mai 2012
Nous prenons notre temps pour nous rendre à Bonifacio, qui se trouve à 5 km de notre habitation. J’étais déjà venu dans cette ville il y a 3 ans. C’était en bateau par une belle tempête ! Mais j’ai dû repartir le surlendemain et c’est tout ce que je connais de la Corse ! Ce goulet de 1 km de long entouré de hautes falaises calcaires qui sert de port naturel est impressionnant ! Nous montons à la haute ville qui occupe tout un l’éperon qui domine le port.
C’est un enchevêtrement de petites ruelles, nous passons devant la maison où dormi Bonaparte qui fait face à celle qui abrita Charles Quint ! Après la ville se trouve une grande caserne abandonnée et tout au bout un cimetière domine la mer. Sète a de la concurrence !
Nous déjeunons dans un petit restaurant qui ne paye pas de mine mais c’est excellent, très copieux et le tout pour un prix raisonnable vu le nombre de touristes au m² et nous ne sommes pas encore en haute saison ! L’après-midi nous allons sur une petite plage à proximité de notre studio, en chemin un renard traverse la route juste devant nous ! Je n’en avais jamais vu d’aussi pres ! C’est la carte postale de la Corse mer turquoise, paillotte, plage, îles au large ….Juste un point négatif un vent puissant qui fait moutonner la mer. Le soir les grenouilles de la mare qui se trouve juste à côté de notre chambre nous font un concert assourdissant !
Lundi 14 mai
Premier jour d’excursion nous quittons Bonifacio par la route qui longe la côte est, premier arrêt à la baie de Rondinara. Des rochers ocres et rouges finissent dans la mer bleue, au dessus un dense maquis vert parsemé de fleurs donne une autre touche de couleurs. Nous continuons vers le nord jusqu’à Porto-Vecchio, Le vent est toujours aussi fort et nous avons froid. Les petites ruelles de la vieille ville ne font qu’accentuer les courants d’air ! Nous avons encore toute l’après-midi devant nous, nous décidons d’aller voir le site préhistorique de Filitosa. A vol d’oiseaux ce n’est pas loin mais en Corse il semble que la notion de ligne droite soit peu connue ! Après un long détour et beaucoup de virages nous arrivons à destination. Sur une petite butte se trouve quelques murailles faite de gros blocs de rochers.
En tous les cas c’est un endroit plein de charme entre verdure et rochers. Au retour nous passons sans nous arrêter à Propriano et Sartène .
Mardi 15 mai
Avec Jeannette et Daniel, les amis de Françoise nous décidons de faire un tour dans le centre de la Corse. Nous remontons le côte est de l’île jusqu’à Solenzara, la dernière partie longe la mer et nous donne de très beau points de vues. La route ensuite serpente et monte régulièrement jusqu’au col des aiguilles de Bavella.
La montagne à cet endroit se transforme en éperons rocheux pointus qui semblent gratter le ciel. Nous en profitons pour faire une pause café. L’air est frais, la luminosité intense bien que tamisée par les forêts de pins. Une fois le col passé le paysage change complètement, à perte de vue des collines arrondies couvertes de maquis. Vers midi nous arrivons à Sartène que nous avions traversé hier et qui ne nous avait pas plu. La ville n’est qu’une longue route entouré d’immeubles en granit de plusieurs étages.
Mercredi 16 Mai
Une longue journée nous attend nous allons remonter au nord jusqu’à Corte l’ancienne capitale de la Corse. Pour changer nous ne prendrons pas la route de la côte est, je garde les longues routes en ligne droite pour ce soir quand je serai fatigué ! Une surprise ce matin un vent de tempête couvre la mer d’écume et fait tanguer la voiture ! Au bout de deux heures de route nous laissons Ajaccio à notre droite et commençons à entrer dans la montagne par la vallée de la Gravona.
La route est sinueuse, bien goudronnée et suffisamment large pour que les croisements de véhicules ne posent pas de problème. Il n’en est pas de même dans les villages où je me suis trouvé coincé entre un mur de pierres et un camion, je pense avoir évité les rayures sur la carrosserie à quelques cm près !
Vers midi nous sommes à Corte, nous visitons le musée avec plaisir : une ancienne caserne réaménagée et à laquelle a été rajoutée une partie moderne en béton et acier noir. De là nous montons au plus haut bastion dominant la ville, il y a toujours du vent mais ce n’est plus les bourrasques de ce matin.
Au cours de notre visite nous voyons la statut de Paoli président de l’éphémère république corse de 1755 à 1769. La descente vers Aléria par la vallée du Tavignano nous donne un nouvel aperçu de la beauté des paysages corses.
Jeudi 17 mai
Nous avons fait assez de voiture hier et nous nous contenterons aujourd’hui de promenades autour de notre maison. Le matin nous longeons la côte de plages en plages avec de belles vues sur les îles Lavezzi et la Sardaigne. Côté terre peu de constructions mais quand il y en a ce sont d’immenses villas qui dominent la mer.
Françoise se découvre une sensibilité new-age !
C’est une très agréable balade. L’après-midi Martine nous propose une randonnée au bord des falaises. Après un passage dans la garrigue nous nous trouvons en haut des falaises dominant la mer translucide et turquoise. Au bout d’une heure nous nous retrouvons sous un aplomb de roches calcaires creusées et déchiquetées par le vent.
C’est impressionnant d’avoir à 10-20 m au dessus de la tête des plaques de roches dont on se demande comment elles peuvent tenir sans nous tomber sur la tête ! Sans aller jusqu’au coup de soleil ces deux promenades commencentà me donner des couleurs !
Vendredi 18 mai
Le ciel est couvert le vent se lève et pour la première fois de notre séjour : il pleut ! Nous traînons à la maison le matin et commençons à ranger et nettoyer la maison (ça c’est Françoise qui le fait) L’après midi nous allons à l’ermitage de la Trinité qui se trouve au milieu d’un enchevêtrement de gros rochers aux formes étranges. Le soir pour ne pas salir tout ce qui a été nettoyé nous allons diner en ville !
Sur les recommandations de Martine nous allons dans la haute ville au Castelle, derrière la terrasse où nous n’allons pas, ayant trop peur d’avoir froid, nous rentrons dans une salle taillée dans le calcaire, c’est impressionnant et beau. Nous y mangerons très bien, c’est une adresse que nous recommandons !
Samedi 19 mai
Levés à 5 h nous quittons la maison une demi heure plus tard et arrivons à l’aéroport de Figari à 6h. Personne au loueur de voiture il n’arrivera que 10mn plus tard. Enregistrement express et vol pour Marseille. Cette fois ci nous n’avons pas à attendre 5 h avant de prendre la correspondance 50 mn suffisent !
A Orly Nicole nous attend et à 10h 30 nous sommes chez moi ! Voilà c’est fini En conclusion : nous avons bien aimé ce voyage en Corse, ces beaux paysages, ces plats de sanglier et d’aubergines au brocciu, sa population plus sympathique que la réputation qu'elle ! Mais aussi nos hôtes charmants et de bons conseils.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire