Costa Rica
Pour faciliter la lecture du blog je créerai une nouvelle page par pays
Samedi 20 octobre
Nous quittons Puerto Viejo pour la capitale du Costa Rica : San Jose.
La route longe la mer puis passe dans une grande plaine cultivée. Nombreuses bananeraies : de gros sacs bleus sont accrochés à chaque arbre, ils protègent les régimes de bananes des prédateurs de tout genre. Au bout de 3h le paysage change brusquement : la route monte sans arrêt, de hautes montagnes couvertes de forêts s’accrochent de chaque côté de la route aux falaises abruptes.
San José est une ville sans intérêt surtout quand nous y arrivons sous la pluie (Il y a actuellement des inondations sur la côte Pacifique) Restent quelques rares bâtiments début 20ème siècle comme la poste
et d'autres de 1930.
La population est plus européenne, mais aussi beaucoup de vendeurs à la sauvette et de mendiants qui le soir dorment sur les trottoirs du centre ville dans des cartons dont ne dépassent que leurs pieds.
Dans la rue principale piétonne, des policiers deux par deux tous les 100m.
De nombreuses boutiques de dessous coquins, je ne pensais pas les latinos si frivoles !
Nous sommes à la mi octobre et les magasins vendent déjà les décorations de noël.
Les femmes ont toutes une bouée autour de la taille, des décolletées abondamment fournis et mis en valeur (désolé pas de photos. Pas facile à faire, mais je ne désespère pas !) Notre hôtel le Royal Dutch est à 50 m de la place centrale , il fait aussi casino et ce soir boîte de nuit ! Heureusement nous sommes au 5ème étage et le bruit n’arrive pas jusqu’ici !
La chambre est très grande avec un lit pour au moins 3 personnes (dommage je suis seul !)
De l’eau chaude : c’est quand même agréable (le tout pour 25€ par internet petit déjeuner compris !) C’est ce que je payais à Puerto Viejo et ce n’était pas le même confort !
Nous avons un peu de mal à trouver un restaurant il n’y a que des fast food, ou l’on ne sert pas même une bière comme boisson ! restauration rapide pourquoi pas mais PAS arrosée de Coca-Cola ou autre soda !
Dimanche 21 octobre
Nous prenons un bus pour le volcan Izaru en espérant que nous verrons quelque chose car le ciel est couvert.
Nous montons au dessus des nuages et avons quelques belles vue sur la caldera où passent des lambeaux de brume,
tout se dissipe pendant quelques minutes et nous avons la vue sur le lac qui se trouve au fond du cratère.
En attendant le bus du retour nous faisons connaissance avec un coati (très familier) qui fait les poubelles et vient manger dans la main des touristes
Lundi 21 octobre
Tout d'abord un mea culpa pour mon jugement un peu hatif sur la plastique des Costaricaines. Ce matin en allant prendre le bus, j'en ai vu plusieurs dont la silhouette n'avait rien à envier aux européennes, bien au contraire ! Elles partaient travailler. De là à penser qu'elles ne traînent pas dans les rues le soir il n'y a qu'un pas. Donc nous prenons le bus pour le volcan Poas. Nous y sommes en une heure et demie. Nous dominons le cratère au fond duquel se trouve un lac d’eau d’où s’échappe une colonne de fumée. Une chance le ciel est clair, mais cela ne dure pas !
Puis une bonne heure de marche dans une forêt d’où émergent des fougères arborescentes et où tous les arbres sont couverts de mousse. Cela se comprend il pleut ! Il en sera de même pendant toute la fin d’après midi ! Nous amortissons rapidement le coût des parapluies que nous achetés !
Nous faisons le connaissance d’un couple de Toulousains avec qui nous allons déjeuner à 16h. Repas copieux dans un petit estaminet du marché central.
Le soir juste un petit apéro dans la chambre des Salvador pour finir la soirée.
Mardi 23 octobre
Nous quittons San Jose, par un bus confortable. En quatre heures nous rejoignons Liberia, petite ville séduisante dès l'entrée: enfin une ville à taille humaine avec de vieilles maisons, qui ne manquent pas de charme. Cela me fait penser à certaines villes coloniales du Mexique..
Après quelques aller-retours nous finissons par trouver un hébergement qui convient à tout le monde, très rustique mais avec un jardin !
Après midi repos et préparation des excursions des journées à venir.
Le soir apéro sur les tables de la cour qui se trouvent devant nos chambres. Nous avons changé la base de ce moment festif et avons abandonné le rhum local pour du gin.
Assez rapidement je vois Hélène qui se trouve en face de moi se balancer sur les bancs ! L'installtion est rustique, il est vrai, mais celà ne justifie pas tout ce tremblement. L'effet du gin... probablement ! quand tout à coup je réalise que c'est...
...MON PREMIER TREMBLEMENT DE TERRE !
Impressionnant ! La sensation d’un tangage : tout bouge. Une chance cela n’a pas été plus fort ! C’est à vivre une fois, mais je n'ose imaginer une amplitude plus forte sur l'échelle bien connue.
Soirée Pizza !
Dodo
Mercredi 24 octobre
Nous allons visiter le parc du « Rincon de la vieja »
1h de bus pour nous y rendre. Un méchant crachin commence à tomber, le temps de payer l’entrée et c’est une grosse pluie (comme chez nous) qui tombe et qui va durer une heure. Nous passons le temps en faisant connaissance avec nos compagnons.
Quand la pluie se calme un peu nous partons, protégés par des capes ou comme Jo et moi par un parapluie.
Nous nous enfonçons dans la forêt, le chemin est boueux, glissant, couvert de racines d’arbres, encombré de rochers humides et parfois entièrement recouvert d’eau : que du bonheur ! Surtout quand il faut ne pas perdre son équilibre et tenir un parapluie qui s’accroche à toutes les chausse-trappes qui se trouvent au dessus de nos têtes (branches, lianes, etc...) !
Et tout cela pourquoi ? pour voir quelques petites mares d’eau ou de boue d’où sortent des fumeroles. Le volcan n’est pas accessible. Trop dangereux pour les touristes. De toutes façons avec le temps qu’il fait cela aurait été un peu trop long.
La pluie cesse quand même ! Les fumerolles se font un peu plus grosses, nous voyons de superbes fromagers dont les racines prennent des formes étranges et une grande cascade.
Au bout de 3-4 h nous revenons à notre point de départ et en profitons pour pique-niquer.
Nous avons eu quelques renseignements sur le tremblement de terre d’hier soir : magnitude 6, peu profond , d’où les mouvements lents de balancier.
Soirée à mettre le blog à jour en attendant l'heure de l'apéro !
Jeudi 25 octobre
Pour faciliter la lecture du blog je créerai une nouvelle page par pays
Mercredi 18 octobre
Nous quittons Boca del Toro. La traversée en bateau est plus calme qu’à l’arrivée, mais 2 Km avant la destination le moteur s’arrête et nous sommes immobilisés au milieu de la mangrove !
Heureusement il y a du trafic et nous changeons de bateau avec armes et bagages au milieu de l'océan !
60 Km de bus plus tard nous arrivons au poste frontière avec le Costa Rica. Les formalités de douanes sont rapides puis nous franchissons à pied un vieux pont de chemin de fer qui délimite les deux pays.
Nous voilà dans notre deuxième pays d’Amérique latine. Encore un peu de bus et c'est Puerto Viejo de Talamanca, petite ville composée de quelques rues qui se croisent à angles droits. La ville longe la mer sur un côté. Une lourde chaleur moite, sans vent pour nous rafraîchir, pèse sur la ville. Je choisis l'option sieste au frais dans ma chambre pendant que mes amis vont à la plage.
Le soir Jo trouve un crabe agressif devant sa porte !
Le village est bien plus animé le soir (il fait nuit à 17h car, autre pays, changement d'heure) qu'en journée. La population esrt très jeune avec beaucoup de rastas.
Vendredi 19 octobre
Après un bon petit déjeuner dans un restaurant qui fait aussi boulangerie, nous prenons le bus pour la réserve de Cahuita.
Nous marchons pendant 5h sur un sentier qui longe la mer dans une forêt dense et humide laissant parfois apercevoir la mer au détour du chemin
Nous cotoyons les différents hôtes de ces lieux : des écureuils, des singes capucins...
mais les vedettes ce sont les paresseux : les noirs à 3 griffes.
Une grande chance ! Nous trouvons sur le chemin un paresseux à 2 griffes; il est très rare de pouvoir les voir de si près, habituellement ils restent dans le haut des arbres et ne descendent qu'une fois par semaine pour faire leurs besoins au sol !
Lors de notre pic-nique un raton laveur se joint à nous ! Il a mis ses lunettes de soleil histoire de rester incognito !
Le soir Jo trouve un crabe agressif devant sa porte !
Le village est bien plus animé le soir (il fait nuit à 17h car, autre pays, changement d'heure) qu'en journée. La population esrt très jeune avec beaucoup de rastas.
Vendredi 19 octobre
Après un bon petit déjeuner dans un restaurant qui fait aussi boulangerie, nous prenons le bus pour la réserve de Cahuita.
Nous marchons pendant 5h sur un sentier qui longe la mer dans une forêt dense et humide laissant parfois apercevoir la mer au détour du chemin
Nous cotoyons les différents hôtes de ces lieux : des écureuils, des singes capucins...
mais les vedettes ce sont les paresseux : les noirs à 3 griffes.
Une grande chance ! Nous trouvons sur le chemin un paresseux à 2 griffes; il est très rare de pouvoir les voir de si près, habituellement ils restent dans le haut des arbres et ne descendent qu'une fois par semaine pour faire leurs besoins au sol !
Lors de notre pic-nique un raton laveur se joint à nous ! Il a mis ses lunettes de soleil histoire de rester incognito !
Samedi 20 octobre
Nous quittons Puerto Viejo pour la capitale du Costa Rica : San Jose.
La route longe la mer puis passe dans une grande plaine cultivée. Nombreuses bananeraies : de gros sacs bleus sont accrochés à chaque arbre, ils protègent les régimes de bananes des prédateurs de tout genre. Au bout de 3h le paysage change brusquement : la route monte sans arrêt, de hautes montagnes couvertes de forêts s’accrochent de chaque côté de la route aux falaises abruptes.
San José est une ville sans intérêt surtout quand nous y arrivons sous la pluie (Il y a actuellement des inondations sur la côte Pacifique) Restent quelques rares bâtiments début 20ème siècle comme la poste
et d'autres de 1930.
La population est plus européenne, mais aussi beaucoup de vendeurs à la sauvette et de mendiants qui le soir dorment sur les trottoirs du centre ville dans des cartons dont ne dépassent que leurs pieds.
De nombreuses boutiques de dessous coquins, je ne pensais pas les latinos si frivoles !
Nous sommes à la mi octobre et les magasins vendent déjà les décorations de noël.
Les femmes ont toutes une bouée autour de la taille, des décolletées abondamment fournis et mis en valeur (désolé pas de photos. Pas facile à faire, mais je ne désespère pas !)
La chambre est très grande avec un lit pour au moins 3 personnes (dommage je suis seul !)
De l’eau chaude : c’est quand même agréable (le tout pour 25€ par internet petit déjeuner compris !) C’est ce que je payais à Puerto Viejo et ce n’était pas le même confort !
Nous avons un peu de mal à trouver un restaurant il n’y a que des fast food, ou l’on ne sert pas même une bière comme boisson ! restauration rapide pourquoi pas mais PAS arrosée de Coca-Cola ou autre soda !
Dimanche 21 octobre
Nous prenons un bus pour le volcan Izaru en espérant que nous verrons quelque chose car le ciel est couvert.
Nous montons au dessus des nuages et avons quelques belles vue sur la caldera où passent des lambeaux de brume,
tout se dissipe pendant quelques minutes et nous avons la vue sur le lac qui se trouve au fond du cratère.
En attendant le bus du retour nous faisons connaissance avec un coati (très familier) qui fait les poubelles et vient manger dans la main des touristes
Tout d'abord un mea culpa pour mon jugement un peu hatif sur la plastique des Costaricaines. Ce matin en allant prendre le bus, j'en ai vu plusieurs dont la silhouette n'avait rien à envier aux européennes, bien au contraire ! Elles partaient travailler. De là à penser qu'elles ne traînent pas dans les rues le soir il n'y a qu'un pas. Donc nous prenons le bus pour le volcan Poas. Nous y sommes en une heure et demie. Nous dominons le cratère au fond duquel se trouve un lac d’eau d’où s’échappe une colonne de fumée. Une chance le ciel est clair, mais cela ne dure pas !
Puis une bonne heure de marche dans une forêt d’où émergent des fougères arborescentes et où tous les arbres sont couverts de mousse. Cela se comprend il pleut ! Il en sera de même pendant toute la fin d’après midi ! Nous amortissons rapidement le coût des parapluies que nous achetés !
Nous faisons le connaissance d’un couple de Toulousains avec qui nous allons déjeuner à 16h. Repas copieux dans un petit estaminet du marché central.
Le soir juste un petit apéro dans la chambre des Salvador pour finir la soirée.
Mardi 23 octobre
Nous quittons San Jose, par un bus confortable. En quatre heures nous rejoignons Liberia, petite ville séduisante dès l'entrée: enfin une ville à taille humaine avec de vieilles maisons, qui ne manquent pas de charme. Cela me fait penser à certaines villes coloniales du Mexique..
Après quelques aller-retours nous finissons par trouver un hébergement qui convient à tout le monde, très rustique mais avec un jardin !
Après midi repos et préparation des excursions des journées à venir.
Le soir apéro sur les tables de la cour qui se trouvent devant nos chambres. Nous avons changé la base de ce moment festif et avons abandonné le rhum local pour du gin.
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Voilà les bancs balançoires ! |
Assez rapidement je vois Hélène qui se trouve en face de moi se balancer sur les bancs ! L'installtion est rustique, il est vrai, mais celà ne justifie pas tout ce tremblement. L'effet du gin... probablement ! quand tout à coup je réalise que c'est...
...MON PREMIER TREMBLEMENT DE TERRE !
Impressionnant ! La sensation d’un tangage : tout bouge. Une chance cela n’a pas été plus fort ! C’est à vivre une fois, mais je n'ose imaginer une amplitude plus forte sur l'échelle bien connue.
Soirée Pizza !
Dodo
Mercredi 24 octobre
Nous allons visiter le parc du « Rincon de la vieja »
1h de bus pour nous y rendre. Un méchant crachin commence à tomber, le temps de payer l’entrée et c’est une grosse pluie (comme chez nous) qui tombe et qui va durer une heure. Nous passons le temps en faisant connaissance avec nos compagnons.
Quand la pluie se calme un peu nous partons, protégés par des capes ou comme Jo et moi par un parapluie.
Nous nous enfonçons dans la forêt, le chemin est boueux, glissant, couvert de racines d’arbres, encombré de rochers humides et parfois entièrement recouvert d’eau : que du bonheur ! Surtout quand il faut ne pas perdre son équilibre et tenir un parapluie qui s’accroche à toutes les chausse-trappes qui se trouvent au dessus de nos têtes (branches, lianes, etc...) !
Et tout cela pourquoi ? pour voir quelques petites mares d’eau ou de boue d’où sortent des fumeroles. Le volcan n’est pas accessible. Trop dangereux pour les touristes. De toutes façons avec le temps qu’il fait cela aurait été un peu trop long.
La pluie cesse quand même ! Les fumerolles se font un peu plus grosses, nous voyons de superbes fromagers dont les racines prennent des formes étranges et une grande cascade.
Au bout de 3-4 h nous revenons à notre point de départ et en profitons pour pique-niquer.
Nous avons eu quelques renseignements sur le tremblement de terre d’hier soir : magnitude 6, peu profond , d’où les mouvements lents de balancier.
Soirée à mettre le blog à jour en attendant l'heure de l'apéro !
Jeudi 25 octobre
vous avez trop bu ,le 24 au soir ;Au point de ne plus savoir se servir d'un ordinateur !!!
RépondreSupprimerNon nous n'avons pas bu plus que d'habitude mais il faut aller sur la page Nicaragua ! en plus le temps est moins pluvieux ! Bises à vous deux
SupprimerErnesto