Arrivée en Colombie
Lundi 16 nov. 15
Nous partons assez tôt, nous prenons un taxi pour la gare routière quad nous donnons notre destination, le chauffeur nous dit que ce n’est pas au terminal qu’il faut aller.
Cinq minutes plus tard il nous dépose sur le bord de la panaméricaine , nous sommes une dizaine à attendre.
Quand le bus arrive il est bondé, nous commençons le voyage debout mais rapidement nous trouverons des places assises.
La route est en travaux elle sera prochainement en quatre voies. Les paysages sont beaux nous passons d’une vallée très chaude à un plateau couvert de cultures.
Arrivée à Tulcan, dernière ville en Equateur, la frontière se passe rapidement, nous prenons un taxi pour Ipales. Ce n’est pas une ville sympathique, beaucoup de monde, nous devons changer nos Dollars dans la rue, le cours n’est pas très bon.
Nous ne restons pas sur cette impression et partons pour l’église de Lajas, à quelques km de la ville.
Au fond d’une grande gorge se trouve une construction faisant un pont sur la rivière. C’est impressionnant.
Le soir nous trouvons un restaurant agréable, et cela n’a pas été facile !
La route de Popoyan
Mardi 17 nov.
Encore un départ matinal sans petit déjeuner.
A la gare routière un bus par immédiatement, Jo préférerai
prendre le suivant et avoir le temps de manger, Hélène arrive le convaincre de
partir tout de suite.
La route est longue, en altitude il fait froid en descendant
dans les vallées il fait chaud ? A une heure nous avalons rapidement une
soupe et un bout de poulet (pour changer ! )
En cours de route je vois de nombreuses casemates faites de
sacs de sable avec des militaires en armes, qui régulièrement contrôlerons nos
identités.
Nous mettons 9 h pour arriver à Popayan !
C’est une belle ville blanche, mais nous n’avons pas le
temps de faire du tourisme, nous devons d’abord nous renseigner sur les
possibilités d’aller visiter les sites de Tierradentro et San Augustine.
C’est une question qui est en suspend depuis le moment où
nous avons commencé à concevoir le voyage.
Il est possible ; de partir de Popoyan, d’aller à
Tierradentro, de la rejoindre San Augustine et de revenir à Popoyan.
Après cela nous prenons le temps de manger de bonnes pâtes
dans un restaurant italien.
Tierradentro
Mercredi 18 nov.-15
Nous arrivons à obtenir un petit déjeuner à 6h45 afin de ne pas partir le ventre vide.
Le bus par à 8h, il est beaucoup plus rustique que tous ce que nous avons eut jusqu’à présent.
Au début la route est bonne mais assez rapidement ce n’est plus de l’asphalte mais des pierres.
Ensuite se sont les éboulements, qui obstruent la grande partie de la chaussée avec au dessus de nous quelques gros rochers en équilibres qui ne sont pas encore tombés. Les morceaux de chaussées qui ont disparues dans le précipice et pour finir les travaux qui transforment la route en bourbier où il faut croiser les camions bennes pleins de rochers.Cela va durer 5h pendant lesquelles les vitres n‘étant pas étanches je grelote de froid dans les cours en d’air !
Mais nous avons de superbes paysages.
Agréable surprise l’hôtel est très beau dans une prairie avec des chevaux et même une piscine.
Mais nous ne sommes pas venu pour cela, mais pour les tombes souterraines qui se trouvent dans cette région.

Mais nous ne sommes pas venu pour cela, mais pour les tombes souterraines qui se trouvent dans cette région.

Mais là aussi cela se mérite, il faut monter au sommet d‘une colline et là, dans le sol se trouvent les tombes.
Il faut descendre des marches très hautes 40 à 50cm, sur 4 à 5 m de profondeur et là une salle creusée dans le tuf volcanique, décoré de peintures géométriques dont le plafond est soutenu par des piliers ornés de visages stylisés.
Les montées et les descentes sont éprouvantes, nous sommes ruisselant de transpiration.
Route pour San Augustine
Nous retournons à l’hôtel et attendons le bus, nous avons compris que se ne serai pas simple au moins deux changements.

Jeudi 19 nov. 15
Ce matin nous partons à la découverte d’un nouveau
site : El tablon, il nous faut 45 mn de marche toujours en montée pour
arriver. Ici se ne sont pas des sépultures enterrées que nous découvrons mais
des statues.
Pour rejoindre le musée Hélène et Jo prennent un sentier qui
serpente dans la montagne, je préfère revenir par la où nous sommes arrivées
c’est toujours en descente et je pense que c’est aussi beaucoup plus
cours !
Je les attendrai effectivement près d’une heure, au calme et
au frais.
La visite des deux musées ethnographie et archéologie, ne
dure pas longtemps.Nous retournons à l’hôtel et attendons le bus, nous avons compris que se ne serai pas simple au moins deux changements.
A midi passe un pick-up bâché, nous avons la chance de
pouvoir nous installer dans la cabine. Nous mettrons 2h pour faire les 50 km sur
une route constamment défoncée, qui nous séparent de la Plata. Ici notre sort
s’améliore un mini bus conduit par un beau jeune homme, genre beau rital dont
les cheveux lui font une auréole de boucles noires ! En plus il conduit
doucement et la route est bonne. Le paysage est toujours très beau, des
montagnes donc les flancs sont cultivés.
Arrivée à Patalito, nous prenons à nouveau un pick-up mais
cette fois ci nous sommes assis à l’arrière sur de dures banquettes pendant une
heure.
Nous sommes déposé devant l’hôtel, simple mais comme
toujours très propre.
Nous organisons l’excursion de demain qui va nous faire
découvrir les sites archéologique de San Augustin.
Les statues et les tombes de San Augustin
Vendredi 20 nov. 15
Nouveau départ matinal : un 4x4 nous attend à 7h pour
une ballade d’une journée.
Nous commençons par deux belles chutes d’eaux
Salto del Mortino
Salto de Bordones
Entouré de beaux paysages
Après place à la culture, ici se sont des tombes en formes en dolmens précède d’un portique de pierre protégeant une statue très stylisée
D’abord le sites de Alto de los Idolos qui ressemble à un terrain de golf Après place à la culture, ici se sont des tombes en formes en dolmens précède d’un portique de pierre protégeant une statue très stylisée
Obando où il n’y a pas grand-chose à voir
Le détroit de la Magdalena, le fleuve ne fait que 2,20 m de
large, il continu ensuite au nord jusqu’au caraïbes sur 1500 km.

L’après midi sera consacrée au parc de San Augustin où nous
verrons sur plusieurs collines de nombreuses tombes et statues.
Nous passons d'abord au musée
Nous passons d'abord au musée
D'agréables chemins ombragés nous permettent d'aller visiter les différents sites
Retour à Popayan
Samedi 21 nov. 15
C’est avec un minibus que nous faisons le trajet, d’abord
bonne route dans des champs de caféiers, puis nous rentrons dans les nuages,
nous roulons sur une vilaine piste avec de gros camions qui sortent de la brume.
A Popayan nous retrouvons notre hôtel, il pleut nous nous
promenons au marché, nous y sommes au moins à l’abris !
Je suis étonné des mannequins qui servent à présenter les
vêtements elles font au moins un 1,80 cm (ce qui n’est pas la taille standard
ici !) et des poitrines exorbitantes ! Bonjour les fantasmes !
Par contre les colombiennes portent des jean hyper moulants,
serrés en haut des cuisses ce qui leurs fait des fesses particulièrement proéminentes,
c’est pas très beau !
La ville est toute blanche mais sous le ciel de pluie elle
est plutôt grise !
En Colombie nous ne pouvons retirer que 100 € à chaque fois
que nous passons à un DAB, la vie à beau
être moins cher qu’en Equateur nous somme obligé d’y passer pratiquement
tous les deux jours sinon plus car il n’y a pas de DAB partout !
Popayan : un dimanche tranquille
Dimanche 22 nov. 15
Trois musées, très petits mais l’un est la demeure d’un président de la république colombienne !
Une fin d’après-midi à boire un café sur la place centrale où sont installés les décorations de noël.
Voilà c’est tout !
Mais demain ça recommence !!!
En route pour Salento à 130 km/h !
Pas de levé matinal, pas de bus à 7 h…
Un petit déjeuner tranquille à 8 h passé, une longue
promenade dans une ville calme, pas de pluie et même parfois un rayon de
soleil.
Nous voyons quand même quelques église dont San Domingo est son confessionnal pour très gros pêchers,
Nous voyons quand même quelques église dont San Domingo est son confessionnal pour très gros pêchers,
d'autres églises,
Trois musées, très petits mais l’un est la demeure d’un président de la république colombienne !
Une fin d’après-midi à boire un café sur la place centrale où sont installés les décorations de noël.
Voilà c’est tout !
Le soir dîner chic !
Mais demain ça recommence !!!
Lundi 23 nov. 15
Il fait un beau soleil à Popayan quand nous partons
Notre véhicule est un petit car Mercedes, la route est la
plus part du temps une 4 voies, le chauffeur roule souvent à 130 et pousse des
pointes à 140 ! Nous étions habitué à faire du 20 km/h, ça nous change.
Le paysage est plat, c’est une suite sans fin de champs de
cannes à sucre.
Un arrêt à Cali, grande ville moderne avec de nombreux
immeubles hauts et récents.
Changement de bus à Armenia, nous revenons à des choses plus
courantes, vieux bus route en virage et vitesse ne dépassant pas les 40 à
l’heure ! Passons dans les nuage et pluie abondantes !
Nous mettons quand même 7h pour faire le trajet, même en
roulant parfois très vite.
Malgré le temps agréable surprise à Solento, hôtel neuf,
décoration moderne, personnel charmant.
La ville est également nous surprend, elle est toute petite,
les maisons sont d’un étage et toute peintes de couleurs vives.
La vallée de Cocora : NUL ! SANS INTERET !
INUTILE !
Mardi 24 nov. 15
Beau soleil pour notre départ pour la vallée de Cocora, tous
les guides recommandent vivement cette excursion.
’abord une demi-heure de Jeep Willy,
avec Jo nous sommes
debout derrière pour regarder la campagne elle est très verte et de nombreuses
vaches broutent une herbe verte et grasse.
Nous quittons notre véhicule pour un large sentier qui longe
une rivière. Ce cadre idyllique hélas ne dure pas !
Le chemin devient de plus en plus boueux pour ne plus être qu’un bourbier rempli de crottins de cheval. Ca glisse, les cailloux tordent les chevilles et il faut parfois être très prudent car seul un rondin de bois bien mouillé, placé le long du précipice permet d’avancer. En plus ça monte très fort. Seul moment un peu tranquille la traversée de la rivière sur des ponts branlant.
Tout ça pour suivre une rivière comme il y en a des centaines de France. Est ce bien nécessaire de faire 13.000 km et 200 h de bus pour en arriver là ?
Le chemin devient de plus en plus boueux pour ne plus être qu’un bourbier rempli de crottins de cheval. Ca glisse, les cailloux tordent les chevilles et il faut parfois être très prudent car seul un rondin de bois bien mouillé, placé le long du précipice permet d’avancer. En plus ça monte très fort. Seul moment un peu tranquille la traversée de la rivière sur des ponts branlant.
Tout ça pour suivre une rivière comme il y en a des centaines de France. Est ce bien nécessaire de faire 13.000 km et 200 h de bus pour en arriver là ?
Surtout qu’il est difficile de regarder le paysage,
tellement il faut faire attention où l’on pose ses pieds !
Au bout 2h et 400m de dénivelé nous arrivons à Acaime but de
cette marche.
Nous faisons une pause bien méritée, et regardons les
colibris qui s’y trouvent.
Le temps se gâte, les nuages arrivent. Quand nous partons
nous sommes dans le brouillard il nous faut encore monter de 200m d’altitude
pour un nouvel arrêt.
En chemin nous voyons de nombreux champignons.
Le chemin ensuite est plus facile c’est une longue descente
que nous faisons hélas sous la pluie !
Nous découvrons dans la brume les palmiers à cire, qui font
jusqu’à 60 m de haut.
De retour à Salento, je suis crevé !
En conclusion c’est une excursion sans intérêt, épuisante,
pour ne rien voir et que l’on peut faire facilement n’importe où dans le monde
( bon, peut-être pas au Sahara !)
Je vous recommande de lire la description de cette journée
faite par mes amis sur leur blog ce n’est tout à fait la même chose !
Le musée national où je comprend enfin la notion de la Sainte Trinité !
Un autre jour à Medellin
Dimanche 29 nov.
Nous le quittons au bout de 30mn à la place Botero pour reprendre quelques photos avec le beau soleil de ce matin.
Ensuite nous prenons le métro aérien qui ressemble plus à notre RER, pour une station en correspondance avec un téléphérique.
Pendant 20mn nous survolons des quartier de maisons en briques, aux toits de tôles ondulés, aucun mur n’étant enduit cela donne une couleur rouge à tout le paysage, plus ont monte et plus les habitations sont modestes, tout en haut se ne sont que des baraques de planches et des ruelles de terre battue.
Soirée pizza-pâtes, sur une place très animée à 3 blocs de maisons de notre hôtel
Voir : lepetitmondedhelene
Manizales
Mercredi 25 nov . 15
En partant de notre hôtel la jeune femmes de la réception
nous demande où nous allons, quand noud lui disons que nous partons pour
Manizales via Armenia, elle nous dit qu’il est bien plus rapide de passer par
Peirera, nous y gagnerons au moins une heure ! Ce que nous faisons.
Nous en profitons pour refaire un tour en ville.
Hélène et Jo font le plein de fruits et de jus d'orange
Arrivée à Manizales la gare routière que nous atteignons après une longue montée est neuve grande comme la plus par mais ici ce qui est étonnant c’est que pour nous rendre au centre ville qui est encore plus haut il faut prendre un téléphérique ! Nous survolons des quartiers de maisons qui font penser à des bidons villes améliorés.
Nous en profitons pour refaire un tour en ville.
Hélène et Jo font le plein de fruits et de jus d'orange
Arrivée à Manizales la gare routière que nous atteignons après une longue montée est neuve grande comme la plus par mais ici ce qui est étonnant c’est que pour nous rendre au centre ville qui est encore plus haut il faut prendre un téléphérique ! Nous survolons des quartiers de maisons qui font penser à des bidons villes améliorés.
A l’arrivée une longue rue très commerçante qui est sur la
crête d’une colline, de chaque côté des rues très en pentes.
Notre hôtel à du être très bien dans les années 20-30, la
façade est bien défraichi, mais l’intérieur est propre comme nos chambres.
Nous nous apercevons vite qu’à part le rue 23 il n’y a pas grand-chose à voir !
Nous nous apercevons vite qu’à part le rue 23 il n’y a pas grand-chose à voir !
Mais trouvé un restaurant sera difficile !
Route pour Santa Fe de Antioquia
Jeudi 26 nov. 15
Pour rejoindre la gare routière nous empruntons à nouveau le
téléphérique. En y regardant de plus près ce ne sont pas des bidons villes que
nous survolons mais des maisons en briques sans enduit et couvertes de tôles
ondulées.
Nous partons avec une demi heure d’avance dans un
confortable minibus.
Comme toujours le trajet n’est qu’une succession de longues montées et de descentes.
Nous sommes arrêté par un embouteillage. Comme cela dure un bon moment, nous allons voir ce qui se passe, c’est un très gros semi-remorque qui est couché en travers de la route, sa cargaison de bouteilles de bières (hélas vides) rependue sur la chaussée.

Comme toujours le trajet n’est qu’une succession de longues montées et de descentes.
Nous sommes arrêté par un embouteillage. Comme cela dure un bon moment, nous allons voir ce qui se passe, c’est un très gros semi-remorque qui est couché en travers de la route, sa cargaison de bouteilles de bières (hélas vides) rependue sur la chaussée.

Il nous vaudra attendre 2 h pour que le camion soit redressé
et que la route soit dégagée de la cargaison.
A partir de ce moment là, le chauffeur voulant sans doute rattraper
son retard se met à conduire comme un fou, dépassements en côtes sans
visibilité, virages pris à toute vitesse, alors qu’en face c’est un défilé
ininterrompu de gros camions…
Je me cramponne comme je peux, pas par peur, la conducteur à fait son signe de croix avant de partir, mais pour ne pas être balancé de tous côté.
Je me cramponne comme je peux, pas par peur, la conducteur à fait son signe de croix avant de partir, mais pour ne pas être balancé de tous côté.
Nous arrivons à Medellin, c’et une très grande ville toute
en longueur dans une vallée, de chaque côtés l’urbanisation grignote les flancs
des collines, soit des petites maisons, soit des tours d’habitations de 30
étages très fines, cela me rappelle Hong Kong.
Le bus nous dépose à la gare routière du sud et c’est bien
entendu de celle du nord que nous devons partir pour Santa e de
Antioquia !
Le problème se résout en 20 mn de taxi.
Le problème se résout en 20 mn de taxi.
Encore une heure et demi de route pour enfin arrivée à
destination.
Notre hôtel est une vieille demeure historique sur la place centrale, avec une piscine.
Notre hôtel est une vieille demeure historique sur la place centrale, avec une piscine.
Mes amis se mettent tout de suite à l’eau , pendant que je
recherche désespérément mon maillot de bain ! Quand enfin je le retrouve
et que je vais rejoindre Hélène et Jo, un gros orage se reverse sur la ville,
je n’ai plus envi de me baigner !
Je n’ai pas de Wi-Fi dans ma chambre, cela me manque, je ne
peux pas lire le journal, écouter les informations de France Info ou d’Europe
1, lire et répondre à mes courriels, on prend vite des habitudes !
Journée tranquille àSanta Fe de Antioquia
Vendredi 27 nov.15
Pas de bus ce matin un petit déjeune tranquille, puis une
bonne heure à réserver nos vols de Bucaramange à Santa Marta.
Visite de la ville : les rues couvertes de gros pavées,
les vieilles maisons,
ses églises..
Nous avons même droit à une procession de prêtres, avec évêque et chants religieux.
Nous avons même droit à une procession de prêtres, avec évêque et chants religieux.
Cela nous permet de voir l’église de Santa Barbara.
Sa place avec pour une fois des terrasses où nous nous
arrêtons pour boire un verreNotre voisin parlant à ces enfants se demande s’il y a une
serveuse où s’il faut aller faire sa commande ? Je lui dit qu’il y a une
chica. Je l’aperçois et lui demande de venir pour notre voisin.
Il nous remercie.
Quand sa commande arrive il y a aussi 2 bières, pour nous
qu’il nous offre ! Les colombiens ça se confirme sont sympas !
Nous en profitons pour regarder les personnes autour de nous
Tour en ville où nous voyons des bus très colorés mais que nous
espérons ne jamais avoir à prendre !
Nous prenons un tuk-tuk pour aller à 5 km de là voir le pont
de l’Occident.
C’est un pont suspendu de 300m de long construit en
1895 !
Le soir nous passons près de 2 h pour trouver un hôtel à
Bogota
Entre les quartiers peu sur, les pas recommandés, les
dangereux, ceux où il ne faut pas être dans la rue après le coucher du soleil,
ne pas oublier le facteur qui fait que plus l’on s’approche de la colline plus
ces mal famé, en trouver un qui ne soit pas complet, pas trop cher et qui
réponde aux spécifications précédentes : c’est pas du gâteau !
Découverte de Medellin
Samedi 28 nov. 15
Je redoute ces 5 jours que nous allons passer à Medellin et
Bogota, se sont des villes qui ont une mauvaise réputation (c’est peu
dire !) Je n’aime pas devoir être constamment sur mes gardes et après un
mois et demi de voyage ces visites ne m’enchantent guères !
Notre hôtel est très bien (il faut dire que nous avons payé
pour !)
Nous prenons un taxi pour aller au centre ville pour voir :
l’église la plus
vieille de la ville
Le musée national où je comprend enfin la notion de la Sainte Trinité !
Et les tableaux de Botero
Heureusement que Mr Botero existe je me demande se que les
colombiens auraient pu mettre sur leurs places ou dans le musée !
Amusant tableau du maitre représentant Cézanne.
Nous traversons un étonnant centre commercial.
Il y a une foule très dense dans les rues, il faut dire que c'est samedi et que les magasins regorgent de décorations de noël.
J'achèterai bien quelques guirlandes car elles ne sont vraiment pas chères mais elles sont en 110 volt !
En voulant aller à la cathédrale nous passons dans un
quartier de prostituées toutes plus affligeantes les unes que les autres mais
aussi nous voyons des petites fille de 4-5 ans faisant la manche assises seules
sur le trottoir, une grande misère et pauvreté est visible partout.
Par moment je me demande si ce n’est pas pire qu’en Inde,
pourtant une référence dans ce domaine !
Pas étonnant que la délinquance soit aussi élevée !
Le soir nous dînons dans notre quartier, attention de ne pas
aller trop loin, ni de rentrer trop tard !
Je mange un poulet aux champignons qui me réconcilie avec
cet animal qui est toujours très mal préparé.
Un autre jour à Medellin
Nous prenons ce matin un bus touristique qui va nous faire
faire un tour de ville.
Il démarre à deux rues de notre hôtel plaza Poblido.Nous le quittons au bout de 30mn à la place Botero pour reprendre quelques photos avec le beau soleil de ce matin.
Ensuite nous prenons le métro aérien qui ressemble plus à notre RER, pour une station en correspondance avec un téléphérique.
Pendant 20mn nous survolons des quartier de maisons en briques, aux toits de tôles ondulés, aucun mur n’étant enduit cela donne une couleur rouge à tout le paysage, plus ont monte et plus les habitations sont modestes, tout en haut se ne sont que des baraques de planches et des ruelles de terre battue.
Une fois au sommet de la colline d’où nous avons un vue
étendue sur Medellin, un deuxième téléphérique prend le relais, c’est un
changement complet, plus de maison, nous survolons un plateau couvert de forêt
à perte de vue. C’est un parc national, avec de nombreux chemins de randonnées.
Ce contraste est vraiment une agréable surprise.
Nous revenons vers la place Botero vers midi.
Nous reprenons le bus, qui nous fait passer dans les parties
modernes de la ville, nous avons même droit à des arrêt de 20 mn pour ne rien
voir ci ce n’est quelques immeubles contemporains.
Vers 14h nous montons sur une colline, d’où nous avons une
nouvelle vue su la ville, nous en profitons pour déjeuner et visiter le faux
village coloniale construit pour les touristes locaux.
Il faut dire qu’il y a très peu de visiteurs étrangers à
Medellin ! Et une journée suffit amplement à voir TOUT ce qui est intéressant !
Après cela retour dans notre barrio (je vais voir si vous
faites de progrès en espagnol ?)Soirée pizza-pâtes, sur une place très animée à 3 blocs de maisons de notre hôtel
En vol pour Bogota.
Lundi 30 nov. 15
L’aéroport de Medellin est à 35 km de la ville, pour y aller
c’est une montée ininterrompu de 25 km, pour enfin trouver un espace
suffisamment plat pour y installer une piste d’atterrissage .
En cours de route encore un accident de la route, cette fois ci c’est une camionnette dont l’habitacle avant est complètement écrasé.
Nous sommes très en avance et nous essayons de prendre un vol plus tôt, c’est possible mais il faut rajouter 200.000 Peso soit le prix que nous avons déjà payé !
Tant pis nous attendrons.
Le vol est très rapide 45 mn ce qui est normal puisqu’à vol d’oiseau il n’y a que 250 km mais en bus il faut au moins 8 h !
Visite de Bogota
En cours de route encore un accident de la route, cette fois ci c’est une camionnette dont l’habitacle avant est complètement écrasé.
Nous sommes très en avance et nous essayons de prendre un vol plus tôt, c’est possible mais il faut rajouter 200.000 Peso soit le prix que nous avons déjà payé !
Tant pis nous attendrons.
Le vol est très rapide 45 mn ce qui est normal puisqu’à vol d’oiseau il n’y a que 250 km mais en bus il faut au moins 8 h !
Arrivée à Bogota notre hôtel est très bien, à 1 bloc du
musée de l’or et à 3 de la place centrale.
Les chambres ont une décoration moderne et celle de mes amis
est particulièrement spacieuse.
Le quartier exception faite des bâtiments officiels est une
succession de constructions anciennes mal entretenues, même si la silhouette
d’une double tour de 200m de haut donne une impression de renouveau.
De toute façon le quartier n’est pas sur, la réception de
l’hôtel nous le confirme : éviter de sortir après 21h !
Nous faisons un tour jusqu’à la place Simon Bolivar, où un
concert classique est donné sous les colonnes du Congrès. Pour une fois c’est
une grande place sans grands arbres comme nous en avons vue jusqu’à présent.Il
n’y à qu’une grande statut au milieu. Cela permet de bien voir les quatre
grandes constructions qui en font le tour :
La cathédrale
Le ministère de la justice,
Le capitole national
L’édifice Liévano
Pour dîner nous avons trouvé un restaurant italien qui est à
200m de l’hôtel et nous y allons suffisamment tôt pour être de retour à 21h
Mardi 1er décembre 15
Nous commençons notre journée par la visite du Musée de
l’Or.
Il est extraordinaire de par la qualité de la muséographie
que par les pièces présentées.
La dernière salle en son et lumière sur des centaines de
bijoux est fabuleuse.
Nous voulons aller ensuite au musée Botero, car il y en a un
aussi ici, pas de chance il est fermé le mardi. Nous en profitons pour faire
une promenade qui nous amène au palais présidentiel, bien gardé !
Autour se trouvent des ministères, le tout bien protégé par
des militaires qui ne sont d’opérette, et une foule de fonctionnaire en costume
noir, mais avec des cravates tendance fluo rose où bleu.
Quelques vieux quartiers de Bogota
Nous prenons un taxi pour le quartier de Usaquen où une amie
Colombienne-québequoise nous attend. Nous nous retrouvons dans une petit rue de
belles maisons anciennes transformées en restaurants où boutiques branchées.

Nous passons un très agréable moment, aussi bien par la
présence de Martha que par les plats qu’elle nous à recommandé.
Quand nous nous quittons le temps est beau et le ciel est
dégagé nous décidons de monter en téléphérique en haut de la colline de
Montserrat.
Arrivée à la station, encore une fois un déploiement
impressionnant de policiers, de chiens renifleurs et de militaires, nous ne saurons pas pour
quoi où pour qui, mais cela ne nous empêche pas de faire la visite. Nous sommes
à 600m au dessus de la ville la vue est impressionnante.
De retour en ville nous passons dans des rues pleines de
vendeurs ambulants, qui de poster religieux, qui de lacets, de CD, de …..mais l’ensemble
laisse une impression de pauvreté. Tout autour des ramasseurs de cartons, de
bouteilles en plastiques et tout autres objets pouvant être recyclé.
Le soir repas léger et recherche d’hébergements pour les
jours à venir ce qui qui risque d’être difficile, car nous serons dans un
village très touristique à proximité d’une grande ville une fin de semaine.
Pour vous faciliter la lecture la suite se trouve dans :
Colombie 2
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