Lundi 19 novembre
Longue journée pour aller de Panarachel jusqu'à San Cristobal de la Casas au Mexique.
Cela commence par l’attente du minibus : plus d’une demie heure. Nous avons du mal à nous y faire. L'agence nous demande de patienter à l’hôtel à 6h30. Le chauffeur viendra nous chercher 10mn avant ou après. C’est le délai habituel, voire plus. Le personnel n'est pas très ponctuel ! Pour un angoissé comme moi c’est très dur ! Pourtant c’est un moyen de transport pratique par rapport aux bus locaux, même s’il est un peu plus cher. Pas d’arrêt pour charger ou déposer des passagers même s’ils sont à 10m l’un de l’autre, confortable, le conducteur nous facilite les passage de douane…
Nous roulons dans un paysage de montagnes couvertes de forêts. Après le passage de la frontière du Guatemala ( c’est la 9ème depuis Panama !) 5km de descente avant de trouver le poste du Mexique ! En 1976 lors de mon premier voyage il m’avait fallu faire ce trajet à pied !
Plus de montagne ! Une longue plaine qui se continuera peu avant d’arriver à San Cristobal par des collines couvertes de pins.
Au centre un beau patio d’où part un escalier tout blanc qui mène aux chambres des étages. Elles mériteraient un coup de peinture mais les salles de bains sont joliment carrelées. Le premier hôtel avec du charme depuis le début du voyage !
Nous faisons un tour en ville : première surprise il fait très froid ! Les gens sont emmitouflés de passe-montagnes, de gros pulls…
Nous sommes dans une des principales villes du Chiapas où eut lieu la révolte dirigée par le commandant Marcos. Je comprends maintenant pourquoi il apparaissait toujours le visage sous un passe-montagne, ce n’était pas pour cacher son identité mais pour ne pas avoir froid !
Je ne suis pas vraiment équipé pour ce climat ! Hélène se couvre de 5 couches de vêtements ! Jo met sa casquette ! Nous comprenons pourquoi il y a tant de magasins vendant des pulls et des doudounes !
Sinon jolie ville, aux maisons basses et peintes, beaucoup de monde dans les rues, nous ferons mieux connaissance demain car il fait déjà nuit.
Mardi 20 novembre
C’est un jour de fête nationale, nous assistons à un grand défilé des écoles.
Les points mis en avant : le sport et la santé, c’est nécessaire car beaucoup d’enfants sont déjà bien ronds

de nombreuses références à la révolution mexicaine avec les figures de Pancho Villa et de Zapata
ainsi que du peuple en armes en opposition à la bourgeoisie représentée principalement par des jeunes filles en robe à crinoline.
Les slogan « Tierra y libertad » revient souvent.
Il y a aussi une réference aux traditions mayas
L’après midi sera consacré à la visite de la ville, de ces nombreuses églises, je retiens surtout la Guadaloupe qui domine la ville
Où je retrouve les prières traditionnelles
San Domingo dont tout l’intérieur est en lambris dorés.
Il y a aussi le cathédrale
la mairie
Les rues piétonnes
Le marché
Un mot sur les habitants, la population est majoritairement indienne, mais peu de femmes portent le costume traditionnel : blouse brodée et étrange jupe noire couverte de poils.
Par contre pour la première fois du voyage il y a aussi des personnes de notre taille, habillées d’une façon semblable à chez nous, même très chics avec chihuahua dans les bras !
La pauvreté se remarque aussi : des femmes marchant pieds nus par le froid qu'il fait, les nombreux vendeurs à la sauvette, les enfants qui vendent des produits touristiques
Le soir le froid est moins vif qu’hier, peut être commençons nous à nous habituer ? C’est dommage car dans 2 jours nous retournons dans chaleur tropicale !
Mercredi 21 novembre
Excursion au canyon du Sumidero, d’abord un bon petit déjeuner avec fruits, œufs, pain, beurre, confiture, purée de haricots rouges, bananes plantains grillées et café pour le prix d’un café crème à Paris : 4€ !
Pendant une heure la route descend sans interruption, quand nous arrivons à Chiapas de Corso où se trouve l’embarcadère nous sommes descendus de 1500m ! Le climat a changé, il fait enfin chaud !
Nous naviguons sur une rivière très calme, car c’est un lac de retenue, le barrage est à 20 km.
Le lac est habité : des vols de plusieurs centaines cormorans, des crocodiles, des oiseaux pas farouches, des iguanes…
Mais surtout les gorges qui parfois s’élèvent à 1000 m au dessus de l’eau !
C’est impressionnant, et très beau !
Au retour petite halte à Chiapas de Corso pour admirer l’étrange fontaine qui trône au milieu de la place centrale
et l’inévitable église où se trouvent d’étonnantes offrandes de pains et de fruits.
En une heure de route, en montée cette fois, nous retrouvons San Cristobal où il fait toujours aussi froid !
Avant de quitter San Christobal quelques vues de nuit
Hélène et Jo au moment de l’apéro dans ma chambre
Jeudi 22 novembre
La route pour Ocosingo traverse de grandes forêts de pins, les rares maisons de la région sont en bois.
A l’arrivée nous trouvons rapidement notre hôtel le « Agua azul »Voilà un endroit qui a tout pout être bien et où rien ne va : les chambres aux murs de pierres apparentes sont peintes de la couleur du plafond, un balcon dont le bois de la balustrade est complètement pourri, un grand jardin en friche, une piscine vide, des paons tellement nombreux que l’on a du mal à éviter leurs fientes….
En revanche, il est au centre ville et ne coute que 10€ !
Nous ne sommes pas venus pour dénigrer les hôtels du coin, mais pour le site maya de Tonina.
Nous traversons pendant 10 km une campagne qui nous fait penser à la Normandie, vallons, vaches, seuls les cow-boys font désordre dans le paysage !
Les ruines sont adossées à une colline qui est couverte de constructions. On y accède par des marches irrégulières et qui forment parfois des motifs sur la parois.
Au pied des couloirs sombres où nous avons du mal à trouver notre chemin, aucun de nous 3 a pensé à apporter une lampe de poche !
Une fois arrivés en haut nous avons une vue panoramique sur les environs.
Je suis impressionné par le taille et l’étendue du site.
Sur cette photo Jo n'est pas tombé de la pyramide, il a fait une photo d'Hélène et de moi sur les marches !
Et les voici au sommet !
Retour en ville qui n’a aucun intérêt, si ce n'est d'immenses magasins de chaussures
Bon repas en ville.
Vendredi 23 novembre
Nous quittons tranquillement Ocosingo par une belle route de montagne
Il faut que je parle des topes ou vibrador : ce sont nos dos d’ânes. Ici ils sont particulièrement mauvais et il faut les passer au pas. Il y en a partout, avant un virage dangereux (et après pour ceux qui viennent dans l’autre sens et qui seraient tentés de passer à gauche), à un croisement et dans les villes et villages où il y en a parfois tous les cent mètres. Pour faire ralentir la circulation c’est beaucoup moins sophistiqué qu’un radar mais très efficace. La moyenne en prend un sacré coup !
Trouvons rapidement un hôtel très propre et agréable. Ca va nous changer d’hier soir, d'autant que nous avons programmé trois nuits dans cet endroit.
Un minibus nous conduit aux ruines de Palenque.
il en va de même pour la tour qui est au centre du palais et qui est fermée au public.
Mais cela reste un très beau site
Sur les sculptures des « papy » fument de drôle de cigarettes !
Une agréable promenade sous les arbres nous fait découvrir de petites structures couvertes de mousse.
Avant d'arriver au musée où les rares pièces exposées sont remarquables
Le soir à proximité de notre hôtel nous trouvons un excellent restaurant aux portions gigantesques
Le soir à proximité de notre hôtel nous trouvons un excellent restaurant aux portions gigantesques
Samedi 24 novembre
Levé à 5h30 ! Un petit bus vient nous chercher à 6h, il est ponctuel.
Longue route dans la forêt avec un arrêt petit déjeuner. Au bout de 4 h de route nous embarquons dans une barque à moteur
Encore une heure pour arriver à Yaxchilan. De très belles ruines autour d’une grande place. Le site est surtout renommé pour les sculptures de ses stèles et les structures faitières qui sont intactes
Encore une heure pour arriver à Yaxchilan. De très belles ruines autour d’une grande place. Le site est surtout renommé pour les sculptures de ses stèles et les structures faitières qui sont intactes
Des chemins taillés dans la forêt permettent de rejoindre les différents monuments
Quand nous revenons en bateau un crocodile immobile semblait nous attendre pour la pour la photo !
Encore une heure de route pour le petit site de Bonampak,

où se trouvent les seules grandes peintures murales mayas qui restent.
Et de belles stèles
A la sortie des ruines : un autobus qui doit dater de la même époque !
Long retour de nuit, nous arrivons à Palenque à 19h30 !
Nous ne tarderons pas à nous coucher pour récupérer de cette journée.
J’espère que Jo ne m’en voudra pas trop pour ces heures de transport pour voir quelques tas de pierres !
Dimanche 25 novembre
Aujourd’hui pas de ruines ! Nous faisons une pause paysage !
D’abord la chute d’eau de Misol Ha où nous pouvons passer sous la chute : impressionnant !
Puis les cascades d’Agua Azul qui méritent bien leur nom.
Pour mieux se rendre compte de l’effet voir le film ci-joint.
Le film ne sera mis en ligne qu'un peu plus tard désolé !
Nous remontrons sur 1 km la succession de cascades, c’est une agréable promenade. Comme c’est dimanche il y a de nombreux mexicains venus se baigner dans les vasques d’eau azur.
Lundi 26 novembre
Deux heures de route dans un paysage plat avant d’arriver à Villahermosa, nous trouvons rapidement un hébergement agréable à la limite de la zone piétonne.
La recherche du billet de bus pour Tlacotalpan nous prend du temps car il n’y a pas de bus direct. Nous arrivons à trouver un transport jusqu’à une ville à 50 km de notre destination, ensuite il faudra improviser !
Taxi pour le parc de la Venta où se trouvent des statues de la plus ancienne civilisation précolombienne : les olmèques.
Le soir nous découvrons l'hôtel de ville
et de belles vieilles maisons

Mardi 27 novembre
Encore du bus, nous « découvrons » que le Mexique est bien plus grand que les autres pays que nous avons traversés et pour aller d’une ville à l’autre ce sont des centaines de km qu’il faut faire et bien des heures de transport ! C’est pour cela que nous faisons le trajet Palenque-Oaxaca en 3j cela nous permet également de visiter : hier Villahermosa et aujourd’hui Tlacotalpan.
Nous avons de la chance, au changement de bus à Cosamalpan celui pour Tlacotalpan avait du retard nous n’avons eu que 10mm pour acheter nos billets et changer d’autocar.
Une heure de route plate et droite dans des plantations de cannes à sucre et des marais.
En arrivant nous profitons des restaurants donnant sur la lagune pour manger en plein air.
En arrivant nous profitons des restaurants donnant sur la lagune pour manger en plein air.
Mais hélène et Jo, tout de suite essayent de perdre le surpoids acquit !
Tlacotalpan est une toute petite ville avec 3 rues parallèles dont toutes les maisons ont été construites à la même époque ce qui donne une grande unité architecturale, mis à part les couleurs des façades toutes différentes et les plus colorées possibles. Tout ceci à valu à Tlacotalpan d’être inscrite au patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO
Mercredi 28 novembre
Encore une longue journée de bus d’abord 2h30 de plaine et de champs de cannes à sucre. Une heure d’attente pour notre correspondance dans la station de bus de Tuxtepec toute blanche, très propre de la compagnie ADO. Puis un petit bus de 20 personnes pour Oaxaca. Nous avons juste le temps d’y manger un beignet au jambon.
Au bout d’une demie heure nous quittons la plaine et pendant les 5h suivantes ce ne sera qu’une succession de virages au milieu de forêts de grands pins élancés.
A mi-parcours nous faisons une halte au Col du « Cerro Machin » c’est vraiment son nom ! Il fait très froid il y a une photo qui montre l’endroit sous la neige.
Au milieu de la salle de restaurant il y a comme dans la plupart des endroits publics, un hôtel avec une Sainte Vierge entourée de fleurs, rubans, bougies…
Nous y mangeons un sandwich local : pain, mayonnaise, purée de haricots rouges, œufs brouillés au chorizo, et un peu de concombre vinaigrette. C’est bon !
Arrivée à Oaxaca quand le bus s’arrête notre jeune chauffeur se signe, pourtant il n’avait pas l’air angoissé en prenant les virages les uns après les autres !
Nous trouvons un agréable hôtel le Don Matias.
Il est 7h nous avons faim, à proximité se trouve un restaurant spécialisé dans le poisson, nous allons vite découvrir, qu’il n’y a pas que cela !
Il est 7h nous avons faim, à proximité se trouve un restaurant spécialisé dans le poisson, nous allons vite découvrir, qu’il n’y a pas que cela !
En attendant que les plats arrivent nous prenons une bière. Je constate que sur les autres tables trône un seau garni de plusieurs bières. Nous nous renseignons : c’est la Happy hour local : 3 bières pour le prix d’une ! Nous en avions déjà pris 3 nous ne sommes pas loin du compte. Va pour le seau ! Oui mais la bière de Jo n’est pas en promotion ! Allez cela ne fera qu’une de plus !
Je remarque aussi que certains consommateurs commandent un verre avec au fond un « liquide » rouge sur lequel ils versent leur bière ? C’est la «michelada » à base de piments et de plein d’autres choses dont je n'ai pas retenu le nom (il y a peut être une raison à cela !)
Il y aura des photos mais c'est Jo qui les a faites !!!
Il y aura des photos mais c'est Jo qui les a faites !!!
J’en commande une, c’est fort, relevé, une fois bue je sens que l’effet dans la bouche se poursuit dans l’organisme, mais je reconnais que ce n’est pas mauvais. J’aurais quand même des difficultés à tout boire même si au deuxième remplissage, la boisson se dilue ! Il faut dire qu’Hélène et Jo ne m’ont pas beaucoup aidé dans cette histoire. Ils ont juste goûté un peu au début, me laissant seul dans mes expérimentations autochtones !
Sinon nous avons fini toutes nos bières et le poissons était bon !
Puis pour faire passer le tout, un petit tour sur le zocalo, c’est le nom donné à toutes les places principales du Mexique. Première vue sur la cathédrale :
Belles églises, belles arcades que nous découvrirons demain.
Par trois fois nous avons croisé des pick-up de la police avec 3 hommes en armes patrouillant dans la ville. Oaxaca a été le théâtre d’affrontements violents en 2006. Le centre de la ville a été occupé pendant près de 6 mois par les grévistes. Il y a encore en ce moment des personnes qui campent sous les arches de la mairie
Jeudi 29 novembre
Départ matinal pour Monte Alban. Au bout de 30 mn de car nous arrivons au sommet d’une colline qui a été arasée pour créer une immense place autour de laquelle et en son centre se dressent un ensemble remarquable de ruines, dont l’usage, comme toujours, se perd avant même l’arrivée des conquistadors.
D’étonnantes sculptures de personnages « dansants » se dressent au pied de certains temples.
L’après midi sera consacré à la visite du monastère St Dominique transformé en musée et ouvert seulement depuis 4 ans. Tout y est remarquable : de la restauration du bâtiment
aux pièces exposées. En particulier le trésor trouvé dans l’une des tombes de Monte Alban
En cherchant notre moyen de transport pour les jours suivants, nous faisons mieux connaissance avec la ville qui ne manque pas d’interêt
En fin de journée pause sur le zocalo où je profite du passage de la foule pour prendre en photo quelques unes des nombreuses vendeuses ambulantes.
Le vieux musicien n'a plus beaucoup de souffle mais il joue quand même !
Il faut dire qu'il n'y a pas de RMI ou autre... Si l'on veut manger il faut travailler ! C'est dur mais il n'y a pas de mendiants, ou seulement des extropiés qui ne peuvent plus être actifs.
Dans les grandes villes à chaque carrefour il y a une multitude de personnes pour proposer : de l'eau minérale, des biscuits, des recharges de téléphone...
Le soir dégustation de "mole" (plat à base de chocolat) dans un petit restaurant local, dont la serveuse était non seulement efficace mais aussi charmante.
Vendredi 30 novembre
Excursion dans les environs de Oaxaca, cela commence par un arrêt à l’arbre de Tullé : immense !
Le guide est très fier de nous dire qu’il est inscrit au Guinness des records pour sa circonférence.
Ensuite une distillerie de mezcal ! Enfin un artisanat intéressant et dont je ne connais pas le fonctionnement.
Tout commence par l’agave
A 8 ans le « tronc » est élagué de ses « feuilles » puis coupé en quatre
Mis à « cuire » dans four creusé dans le sol
Broyé
Les fibres ainsi obtenues sont mise dans l’eau chaude
Le liquide obtenu est distillé, on obtient un alcool de 40 à 70° mais il n’y a que le 40° qui est commercialisé.
Il peut être vieilli en fût qui contiennent déjà les fameux asticots que l’on retrouve dans chaque bouteille.
Dégustation des différents mezcal et de la petite bêbête qui nage dedans !
J’ai préféré celui qui n’était pas vieilli. Quant au ver il est tellement imprégné d’alcool que je ne l’ai pas senti !
Le minibus grimpe ensuite dans la montagne, le chauffeur aime les virages vigoureux ! Je me demande s’il n’a pas lui aussi participé à la dégustation de mezcal ?
Nous arrivons en vue de cascades pétrifiées qui s'étalent en vasques blanches, le tout entouré de montagnes.
En fin de journée nous arrivons à Mitla : des ruines remarquables par les frises de pierre qui décorent les façades.
Dans tout le village il y a des restes de constructions précolombiennes, l’église est même construite dessus.
La pollution due aux déchets, est ici aussi un fléau. Il y a des panneaux partout : "ne jetez pas vos ordures n'importe où" Et dans ce village l'église s'y met aussi, voir l'affiche ci-dessous
Le soir nous retournons au restaurant qui fait un happy-hour de 3 bières pour le prix d’une. Ca fait beaucoup quand même ! Je mange une agréable brochette de poissons, de poulpe et de crevettes.
L’ambiance est chaleureuse, karaoké, chansons reprises par toute la salle et les seaux de bouteilles de bière défilent...!
Samedi 1er décembre
Samedi 1er décembre
Journée importante pour les mexicains : c’est la passation de pouvoir du nouveau président de la république.
Pour nous au contraire c’est une journée où nous flanons dans les rues à la recherche des églises que nous n’avons pas encore visitées et la déception de ne pas pouvoir aller dans les musées qui sont exceptionnellement fermés aujourd’hui.
A l’église de la Soledad, concours de fanfares militaires et de défilés.
Remarquez les anges qui soutiennent les lustres

A San Domingo nous admirons la décoration des murs et l’étrange arbre généalogique qui se trouvent au dessus de l’entrée.
Un mariage s’y annonce par de belles robes !
Dans l’ancienne mairie transformée en musée nous voyons une grande fresque d’Arturo Bustos peinte dans l’escalier principal qui raconte l’histoire du Mexique. Elle n’a pas le même soufle que celles qui se trouve à Mexico de Diego Riviera.
En fin de journée, café sur le zocalo en regardant les passants et les vendeurs.
