Colona de Sacramento.
J’ai oublié
mon parapluie au restaurant hier soir, je ne pourrai pas le récupérer. C’était
dernier publicitaire qu’il me restait de l’époque où je travaillait !
Dans la rue les
arbres sont couverts d’ibiscus en fleurs.
Nous mettons
près d’une heure en taxi pour rejoindre le port d’où nous embarquons pour
traverser le rio de la Plata et arriver à Colona, vieille ville portugaise puis
espagnole.
Notre hôtel
n’est qu’à 300 m de la gare maritime, c’est une ancienne maison particulière
transformée en hébergement de charme..
Nous avons
une grande chambre, lumineuse.
Nous partons
à la découverte de la ville..
Beaucoup de
maisons particulières fin 19 ème début 20 ème siècle.
Au bout des rue la vieille ville avec sa porte qui sert actuellement au tournage d’un film d’époque.
Deux belles
places ombragées, des rues pavées de grosses pierres
le rio de la Plata aux eaux brunes.
Au bout des rue la vieille ville avec sa porte qui sert actuellement au tournage d’un film d’époque.
le rio de la Plata aux eaux brunes.
Les
restaurant sont chers, nous nous contenterons d’une pizza.
Deuxième jour à Colona.
C’est une
promenade agréable dans des rues calmes bordées de grands platanes.
La
ville est petite et l’on en fait rapidement
le tour, mais c’est avec plaisir que nous flânons au gré de notre
déambulation. Je monte au sommet du phare pour une vue sur la ville
Les moineaux ne sont pas farouches
Nous finissons la journée par un beau coucher de soleil sur le rio de la Plata
Montevideo
Nous nous
rendons à pied à la station de bus qui est juste à côté du débarcadère des
bateaux.
Le car
s’arrête dès que quelqu’un fait signe sur la route, ou demande à descendre.
Le paysage
est plat, des fermes, de petites maisons. A l’approche de la capitale des
« lotissements » de toutes petites habitations qui font plutôt penser
à des bidonvilles améliorés.
Notre
hôtel : le Presidente est sur une place où passe la rue principale de la
ville. C’est un immeuble de 17 étages. Notre chambres est confortable, même si
la salle de bain est toute petite.
Nous faisons
un premier tour en ville. Les places se succèdent sur l’axe principale.
C’est une
succession d’immeubles début 20ème siècle et des années 1970.
Beaucoup de salles de spectacles.
Par rapport
à Buenos Aires où la population n’est qu’européenne ici elle est plus mélangée,
sans doute la proximité du Brésil.
Nous allons
voir le soleil se coucher au bout de la vieille ville qui est vide et peu
avenante, les maisons sont en mauvais état et il n’y a personne dans les rues.
Nous arrivons
à la longue promenade qui longe la mer (20 km) espérant y trouver une gargote
où un bar pour notre dîner : rien.
Nous
revenons au centre pour finir dans une pizzeria.
Montevideo 2
Alors
qu’hier il faisait chaud mais avec des coups de vent très violents ce matin il
fait froid, nous nous couvrons chaudement.
Nous
commençons par la place de l’Indépendance, la statue d’Artigas
en dessous
son mausolée gardé par des militaires qui font la joie des élèves en blouse
blanche et grosse lavallière.
Sur le côté la résidence du président de la république
Une grande tour d'habitation de 32 étages datant de 1930
La porte de
l’ancienne forteresse
Les rues
piétonnes
Les
indications de noms de rues sont sponsorisées par un commerce à
proximité !
Le soir paridilla
pour changer !
Montevideo 3
Le samedi
matin nous faisons un tour au marché au puces de la place Matriz
Découverte
du théâtre où toutes les places sont au même prix 5 €.
Agréable
visite d’anciennes maisons transformées en musée
Repas dans
l’ancien marché du port.
Des ampanadas
Mais aussi des parilladas.
Quartier
très animé et touristique.
La
restauration des immeubles se fait en rappel : pas besoin
d’échafaudages !
La mode des
cadenas attachés partout existe ici aussi !
Retour à Buenos Aires
Le matin
nous allons faire un tour vers l’est de notre quartier.
Tout au long
de la rue 18 de Mayo et dans des rues perpendiculaires un immense marché.
C’est
uniquement le dimanche, il y a de tout : poissons rouge, légumes, gâteaux
« magiques », antiquités, vêtements…
Nous sommes étonnés par les indications de rues qui sont sponsorisés par des marques ou le restaurant du coin !
Nous sommes étonnés par les indications de rues qui sont sponsorisés par des marques ou le restaurant du coin !
Ensuite il
est temps de rejoindre la gare routière, très grande et bien organisée, deux
heures de bus pour rejoindre Colona et l’embarcadère.
La
pagaille ! il faut d’abord faire valider son billet, faire une queue, qui
fait tout le tout du hall, pour passer au scanner les bagages. Il y a tellement
de monde que les douaniers ne font même plus passer les bagages dans la
machine !
Une dernière
formalité : les tampons sur le passeport : une salle bondée, les
uruguayens et argentins d’un côté,( la plus part des personnes) et une file
pour les autres.
Dans les
chicanes pour les locaux ça avance assez bien, mais notre file ne bouge
pratiquement pas.
Nous passons
une heure à attendre notre tour qui ne viendra qu’après les autochtones.
Au total
plus d’une heure et demie ! A l’aller nous n’avions pas mis plus de 10 mn.
Donc un
conseil si vous voulez aller à Montevideo n’en revenez pas le dimanche !
La sortie du
bateau a été facile, il a juste fallu attendre un peu pour avoir un taxi.
Notre hôtel
Grand Buenos Aires un bâtiment des années 70, nous sommes au 10ème et dernier
étage, chambre 1004.
En entrant
je vois un petit salon, qui s’avère très grand, avec une salle de douche mais
pas de lit ! A droite un escalier mène à l’étage où se trouve une grande
chambre avec salle de bain balnéo !
Le tout avec
les petits déjeuners pour 50 € !
Le soir bon
dîner au 1820, un restaurant historique et maintenant touristique, mais bonnes
viandes et bon vin.
San Antonio
de Areco
Nous
quittons notre belle chambre pour la gare routière.
Nous
voulions passer deux jours dans une estancia vivre la vie des gauchos, galoper
dans la pampa…
Nos rêves se
sont brisés sur le mur de l’argent ! C’est vraiment cher !
Nous allons
donc à San Antonio de Areco à 120 km de Buenos Aires. Cette ville est réputée
pour sa tradition de vivre dans l’esprit des pionniers de la pampa.
Il y en a !
Il y en a !
La route est
longue il faut sortir des faubourgs de la capitale.
A l’arrivée
la gare routière est juste un petit bâtiment avec un auvent.
Nous
marchons jusqu’à notre hôtel mais il n’y a personne et quand nous téléphonons
nous tombons sur un répondeur !
La place
centrale n’est pas loin nous nous y arrêtons dans un bar – restaurant, ancienne
épicerie, savamment remise dans son aspect d’il y a 50-70 ans.
Nous y
recevons un message comme quoi notre hébergement sera disponible à partir de
14h30.
Une bière et
des empanadas nous permettent d’attendre jusqu’à cette heure.
De l’extérieur
c’est une vieille maison comme il y en a tout au long des rues, peut-être un
peu plus décatie, l’intérieur est au même niveau sinon pire, ça nous change d’hier
soir en plein centre de la capitale et ici nous payons 20 € de plus !
Nous
laissons nos sacs et partons à la découverte de la ville : des petites
maisons plus où moins bien entretenues,
un vieux pont, une estancia reconstitué
avec un musée des traditions gauchos,
beaucoup de magasins de cuirs avec tous les accessoires pour équiper un cheval et son cavalier, des bijouteries, des marchands de couteaux et de coupes-coupes….
beaucoup de magasins de cuirs avec tous les accessoires pour équiper un cheval et son cavalier, des bijouteries, des marchands de couteaux et de coupes-coupes….
Nous y
passons l’après-midi regrettant de ne pas avoir pris un bus pour le soir même.
Notre
commentaire sur la chambre sera : triste, vétuste, sale et cher !
Dernier jour
à Buenos Aires
Nous
rentrons à Buenos Aires pour 11h nous y faisons nos cartes d’embarquement par
internet et nous découvrons que le vol est 2 heures plus tôt que prévu !
Nous n’avons
reçu aucune information d’Air France à ce sujet ! Nous aurions pu facilement
rater notre vol.
Comme il
nous reste un peu de temps nous allons au musée nat. d’arts, très intéressant
dans une partie de la ville pleine de grand espaces arborés.
Notre
chambre n’est plus aussi luxueuse que la dernière fois mais très bien quand
même.
Le soir dîné
au Dada à 2-3 rues nous y mangeons très bien et le pisco sour est excellent.
Retour à
Paris
Nous devons
quitter l’hôtel vers 11h30 nous passons la matinée à faire nos bagages et à
trainer.
Attente pour
embarquer, les places dans l’avions sont toutes petites, peu large et même pas
la place de croiser ces jambes sans faire des distorsions digne d’un acrobate !
Nous avons
du mal à dormir malgré nos comprimés.
Arrivée à
Paris
C’est fini :
RER, froid …
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